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la forme politique, l’économie, la confession, la
langue
. Elle dépendait ainsi, à des titres divers, de plusieurs grands ensem
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s d’éducation, liés dans chacun de nos pays à des
langues
, des coutumes, des traditions religieuses, des conditions sociales et
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tives : Un complexe de traditions, confessions et
langues
, de conditions naturelles et de possibilités de développement aussi d
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exception notable en Suisse : le Jura bernois, de
langue
française, de confession catholique et historiquement autonome, mais
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blier des ouvrages de base, traduits en plusieurs
langues
. Ces ouvrages doivent constituer une synthèse de la culture propre à
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créations humaines, un foisonnement d’œuvres, de
langues
, de moyens d’expression plastiques, de méthodes, de doctrines, d’écol
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répète depuis un siècle que les Suisses, selon la
langue
qu’ils parlent, se rattachent à l’une ou à l’autre des trois grandes
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res nationales » ? C’est avant tout le fait de la
langue
qui l’entretient. Quand on dit que les Suisses romands se rattachent
9
« culture française », on ne pense guère qu’à la
langue
française. Mais celle-ci n’est pas une propriété de la nation françai
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encore dans la France d’aujourd’hui sept ou huit
langues
différentes : l’allemand, le flamand, le breton, le basque, le catala
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aurait définir une « culture nationale » étant la
langue
maternelle de populations qui vivent dans sept ou huit nations différ
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une de nos nations modernes. Mais il y a plus. La
langue
ne saurait à elle seule définir une culture : elle n’est guère qu’un
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ont largement ou même totalement indépendants des
langues
modernes, et ne sont, de toute évidence, pas réductibles à des cadres
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aise », bien que nous parlions à peu près la même
langue
, je trouve ceci : 1° la culture, dans nos cantons, n’est pas liée à l
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exemple, le plus délicat, puisqu’il est lié à la
langue
, laquelle ne pose pas de problèmes pour le savant, l’architecte ou le
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ques — dont on sait la diversité non seulement de
langue
, de confession et de coutumes, mais de régime politique, pendant des
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créations humaines, un foisonnement d’œuvres, de
langues
, de moyens d’expression plastiques, de méthodes, de doctrines, d’écol
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répète depuis un siècle que les Suisses, selon la
langue
qu’ils parlent, se rattachent à l’une ou à l’autre des trois grandes
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res nationales » ? C’est avant tout le fait de la
langue
qui l’entretient. Quand on dit que les Suisses romands se rattachent
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« culture française », on ne pense guère qu’à la
langue
française. Mais celle-ci n’est pas une propriété de la nation françai
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encore dans la France d’aujourd’hui sept ou huit
langues
différentes : l’allemand, le flamand, le breton, le basque, le catala
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aurait définir une « culture nationale » étant la
langue
maternelle de populations qui vivent dans sept ou huit nations différ
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une de nos nations modernes. Mais il y a plus. La
langue
ne saurait à elle seule définir une culture : elle n’est guère qu’un
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ont largement ou même totalement indépendants des
langues
modernes, et ne sont, de toute évidence, pas réductibles à des cadres
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aise », bien que nous parlions à peu près la même
langue
, je trouve ceci : 1° la culture, dans nos cantons, n’est pas liée à
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l’Église catholique, qui sont mondiales ; par sa
langue
, au domaine français, et par sa culture, aux sources variées de l’Eur
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exemple, le plus délicat, puisqu’il est lié à la
langue
, laquelle ne pose pas de problèmes pour le savant, l’architecte ou le
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in. Si bien que ces trois entités : le canton, la
langue
et la tradition religieuse, très diversement combinées, forment en fa
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leçon d’histoire, de géographie et d’économie, de
langues
et de littérature prévue par le programme. Mais pour qu’il saisisse c
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alités les plus hétérogènes, comme par exemple la
langue
, l’économie, l’état civil et les richesses minières. Ainsi l’on coupa
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es naturelles, les réalités les plus hétérogènes,
langues
parlées dans les villes et richesses du sous-sol, monnaie et programm
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alités les plus hétérogènes, comme par exemple la
langue
, l’économie, l’état civil et les richesses minières. Ainsi l’on coupa
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plusieurs rééditions et sera traduit en plusieurs
langues
. Aujourd’hui, on le trouve en livre de poche. Ce livre, célèbre de pa
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accent européen, mais l’Europe est partout où une
langue
est parlée, écrite et chantée librement par une communauté d’hommes l
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péenne que la Suisse : autour de son cœur, quatre
langues
et autant d’accents que de vallées, mais aussi l’origine de quatre gr
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x, qui revendiquent leur autonomie au nom de leur
langue
, de leurs coutumes, ou des nécessités économiques nouvelles, et qui e
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continuer à y parler, comme en Suisse, plusieurs
langues
, bien que l’allemand y soit majoritaire. Il faut s’orienter vers une
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nomiques, du sous-sol et de l’état civil ou de la
langue
qu’on parle, et qui aboutit par exemple à la division de la région Ru
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ul tenant au point de vue du sous-sol, d’après la
langue
qu’on parlait d’un côté ou de l’autre d’une frontière tracée à la sur
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Ici est un soldat, entièrement défiguré, dont la
langue
sort démesurément de sa mâchoire déchirée et brisée ; il s’agite et v
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’arrose d’eau fraîche ses lèvres desséchées et sa
langue
durcie ; saisissant une poignée de charpie, je la trempe dans le seau