1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
1 qui ont permis des centaines de conférences en 6 langues ), et à l’Association des festivals de musique, qui groupe à deux ou t
2 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
2 hu, la radio de Moscou proclamait dans toutes les langues  : « La France vient de perdre ses dernières divisions actives. Elle n
3 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
3 ès de deux siècles, le français a été la première langue étrangère qu’apprenaient les enfants russes de bonne famille. Le plus
4 le français lui était plus familier que sa propre langue et s’en servait de préférence pour rédiger ses lettres d’amour, ses m
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
5 festivals a diffusé 160 000 exemplaires, en trois langues , de sa brochure Saison 1956. Notre service de presse APEA a fait para
5 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Prix européen de littérature n’a pas été donné en 1956 (juin-juillet 1956)
6 érale pour permettre une publication en plusieurs langues par les membres de la Communauté européenne des guildes et clubs du l
7 que la perspective de se voir publié en plusieurs langues par des associations groupant plusieurs centaines de milliers de lect
8 traduction des deux romans en un grand nombre de langues , et rapporta aux auteurs un total de droits plusieurs fois supérieur
6 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Prix européen de littérature : guildes et clubs du livre (août-septembre 1956)
9 réats une publication rapide dans les principales langues de l’Europe, et par là même des bénéfices beaucoup plus importants qu
10 uildes, puis par de nombreux éditeurs en diverses langues , ont été révélés de la sorte à un très vaste public international. Le
7 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
11 rsque la catastrophe « qui n’a de nom dans aucune langue  » a fondu sur un peuple européen. Fallait-il interrompre nos travaux 
8 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
12 à l’usage d’un millier de journaux dans nos trois langues principales. Et voilà la raison de la récente création de notre « Ser
9 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
13 par la Campagne européenne de la jeunesse en sept langues . — Trois réunions en vue de la constitution d’un secrétariat européen
14 on des Actualités européennes, diffusées en trois langues à 1200 journaux. — Première réunion du Pool européen d’éditeurs.   19
10 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
15 ducateurs et publié un bulletin régulier en trois langues  : Notes et Études. L’appui financier de la Fondation européenne — lim
11 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pool européen d’éditeurs (février 1958)
16 Ces ouvrages seront publiés simultanément en sept langues dès que l’association aura été complétée par l’adhésion d’éditeurs it
17 iteurs de premier rang, dans autant de pays et de langues . Il s’agissait de convaincre ces éditeurs de former, à cet effet, un
18 que la collection paraisse simultanément en huit langues , dès la fin de 1958. Certains de ses volumes pourront également être
12 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le bulletin du Centre (février 1958)
19 culturels Europe-URSS. Traduits en deux ou trois langues , ces bulletins touchent un public plus large et paraissent répondre à
20 4 pages en moyenne, souvent traduits en plusieurs langues et d’un tirage initial moyen de 10 000 exemplaires, qui paraissent an
21 t le tirage atteignait 75 000 exemplaires en cinq langues à la fin de 1957, a exercé dans la plupart de nos pays une influence
22 et 22 novembre 1957 (voir p. 22). Diversité des langues et union de l’Europe (août). Données historiques et actuelles sur les
23 (août). Données historiques et actuelles sur les langues parlées en Europe. Où ? par qui ? par combien ? depuis quand ? Donnée
24 ur l’Asie, l’URSS, l’Amérique du Sud. Parenté des langues européennes. Nations et langues. Arguments et préjugés courants. Esti
25 Sud. Parenté des langues européennes. Nations et langues . Arguments et préjugés courants. Estimation des obstacles invoqués. Q
26 des obstacles invoqués. Qualités des principales langues dans la vie internationale. Bilinguisme ? Etc. Plans de causeries. N
13 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
27 end faire coïncider en dépit de toute évidence la langue et l’économie, les « frontières naturelles » et la nature du sous-sol
14 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
28 sources de documentation) et du milieu culturel ( langues , ressources artistiques, traditions et vie intellectuelle). Les consi
15 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Editeuropa (septembre 1959)
29 que répéter ce qui a déjà été écrit dans d’autres langues , que retracer le même historique, que regrouper les mêmes information
30 s’il n’est lu que dans un seul pays, en une seule langue . Le problème concret qui se pose à l’écrivain « européen » est donc d
31 d’intérêt général européen simultanément en huit langues . Les principaux problèmes signalés tout à l’heure, celui des auteurs
32 ’être traduits simultanément dans nos principales langues , moyennant un seul contrat ; aux éditeurs, la garantie que les ouvrag
16 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
33 ’on souhaite voir traduit bientôt dans toutes nos langues (comme il va l’être prochainement en espagnol) ; et qu’une cohorte de
34 iens, philosophes et poètes de presque toutes nos langues . On a reproché à cet ouvrage de suggérer l’idée que l’Europe serait n
17 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
35 n 1906. Il n’a que 18 ans, mais il sait déjà cinq langues , et deux ans plus tard il deviendra « le plus jeune docteur ès lettre
36 , les enfants polonais qui voudraient parler leur langue se trouvent privés d’instruction publique, la Prusse ayant décrété qu
37 mois. Ils avaient décidé de l’écrire en français, langue de théâtre par excellence, aux yeux de Conrad. Le manuscrit, non term
18 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
38 La première fut de limiter à un seul éditeur par langue la qualité de membre du pool. En effet, la variété des publications e
39 er rang desquelles il faut citer l’édition en six langues de l’Histoire de l’Europe et du génie européen (par l’éditeur Robert
40 oopération organisée. Quatre ou cinq éditeurs par langue , au lieu d’un seul ; un groupe de conseillers aux compétences variées
19 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Campagne pour l’Europe des citoyens (septembre 1964)
41 éducation politique, arts, sciences, littérature, langues . Pour organiser ces stages, on a recherché l’appui des gouvernements,
20 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
42 rétexte que les gens, à la surface, parlaient des langues un peu différentes et avaient été conquis par des rois ou des États d
21 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
43 étaient venus à l’œuvre parlant une seule et même langue , dussent la quitter parlant des langues diverses, et incapables de pl
44 le et même langue, dussent la quitter parlant des langues diverses, et incapables de plus jamais s’entendre pour accomplir leur
45 roupes exerçant une même activité parlait la même langue , p. ex. les architectes entre eux, ceux qui roulaient les pierres, en
46 tur). Si bien que les seuls qui s’en tinrent à la langue sacrée furent ceux qui avaient refusé de prendre part à l’œuvre et s’
47 ision. Ainsi donc, l’origine de la diversité des langues ne serait autre que la spécialisation des métiers et par suite des ja
48 ns de vous lire sur l’origine de la pluralité des langues , Dante a posé implicitement le problème beaucoup plus général de ce q
49 i divise les hommes depuis l’aube des temps : les langues certes, mais aussi les distances, les races, les nations, les culture
50 ces de la vie quotidienne sur toute la Terre. Les langues elles-mêmes, ce plus ancien symbole des divisions de l’humanité, s’in
51 amais autant appris de deuxièmes et de troisièmes langues . On n’a jamais autant traduit et déchiffré. Et des machines électroni
52 énomène de Babel : la disparition rapide de toute langue commune, remplacée par une multiplicité de langages spéciaux de moins
53 substitut moderne au latin de jadis, la nouvelle langue de communication non seulement internationale mais interdisciplinaire
22 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
54 Vingt langues , une littérature (mai 1967)cc 1. Mise en garde préalable Nous
55 ble Nous ne pensons pas que l’enseignement des langues et des littératures étrangères doive se proposer « d’inspirer à l’élè
56 ise des instruments collectifs, transpersonnels : langue , traditions, croyances du milieu, etc., mais ils sont là pour tous, e
57 dadaïsme « suisse ». 4. Mais la diversité des langues  ? C’est cela qui obnubile l’enseignement et la critique, depuis l’
58 le qui le ramène à ses justes proportions. a) Nos langues littéraires, en Europe, sont étroitement apparentées (à la seule exce
59 e moins pour la Chine, dont souvent les « grandes langues  » (quatorze en Inde) sont radicalement différentes les unes des autre
60 ssibilité (fréquemment réalisée) du passage d’une langue à une autre par des écrivains de grand talent : Wladimir Weidlé (dans
61 ) La différenciation de nos littératures par leur langue est relativement récente. Le français devient langue officielle dans
62 gue est relativement récente. Le français devient langue officielle dans le royaume des Capétiens en 1539 seulement, par l’édi
63 iècle. Renan a fait justice de la confusion entre langue et nation. On parle encore sept langues en France, et le français est
64 sion entre langue et nation. On parle encore sept langues en France, et le français est la langue maternelle de communautés app
65 ore sept langues en France, et le français est la langue maternelle de communautés appartenant à cinq nations différentes. Ava
66 blance entre auteurs non moins importants que les langues par ces mêmes auteurs utilisées, altérées ou rénovées. Quelles que so
67 siques (ou aux auteurs surréalistes) de sa propre langue . d) C’est dans l’usage le plus rigoureux et spécifique d’une langue,
68 ans l’usage le plus rigoureux et spécifique d’une langue , celui qu’en fait un vrai poète, qu’apparaît dans toute sa fécondité
69 finition of Culture. L’anglais, selon lui, est la langue la plus riche pour un poète, parce qu’elle combine la plus grande div
70 ateurs frileux et puristes méfiants de toutes nos langues (mais surtout de la française) qui prétendent redouter que l’Europe u
71 ber et Faber, Londres, 1948, p. 123. cc. « Vingt langues , une littérature », Bulletin du Centre européen de la culture : « Civ
23 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
72 naturelles », les réalités les plus hétérogènes : langues parlées dans les villes et richesses du sous-sol, confession religieu
73 alités les plus hétérogènes, comme par exemple la langue , l’économie, l’état civil et les richesses minières. Ainsi l’on coupa
24 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
74 t la Provence parlaient encore généralement leurs langues , la proportion serait à peine de deux tiers. 97. P.-J. Proudhon, Du
25 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
75 ons ethniques, constituées par des populations de langues et de coutumes communes, sont liées d’une manière beaucoup plus stabl
76 un des groupes principaux de problèmes observés : langues , enseignement aux trois degrés et formation technique, mass médias.
77 rois degrés et formation technique, mass médias. Langues . En Alsace, après la fin de la guerre et de l’occupation nazie, l’ens
78 l’occupation nazie, l’enseignement de l’allemand, langue maternelle des Alsaciens, est supprimé. Ce n’est qu’en 1952 qu’il est
79 ais chaque élève a le droit de préférer une autre langue , chaque maître peut refuser de donner ces leçons ! Et du côté officie
80 t du côté officiel, on ergote sur la qualité de «  langue maternelle » du « dialecte alsacien », tandis que du côté alsacien on
81 u côté alsacien on multiplie les distinguos entre langue , dialecte ou « forme orale d’une langue », forme orale et forme écrit
82 uos entre langue, dialecte ou « forme orale d’une langue  », forme orale et forme écrite du Hochdeutsch, etc. Voici quelques ch
83 ilaires se posent aux Valdotains et Piémontais de langue française, aux Roussillonnais, Majorcains et Barcelonais de langue ca
84 aux Roussillonnais, Majorcains et Barcelonais de langue catalane, aux Tyroliens du Haut-Adige, aux Basques de France et d’Esp
85 Mounin). En brimant, ridiculisant, interdisant la langue maternelle, l’État-nation de style xixe siècle a prétendu imposer sa
86 mieux entendue que la TV dans les régions de même langue , mais beaucoup moins écoutée. La TV ayant une portée moindre, ne peut
87 sireraient que les émissions locales de l’ORTF en langue allemande ne soient pas limitées à des quarts d’heure symboliques. Le
88 l relais ne transmet aux Français la TV suisse de langue française. 4. Le théâtre et la musique ne souffrent pas des mêmes en
89 inissent les minorités. » (Guy Héraud, Peuples et langues d’Europe, Paris, 1966). « Cicatrices de l’Histoire »114 ou « résultat
90 ans l’espace ni dans le temps : le sous-sol et la langue , l’administration et l’écologie, par exemple. On prétend les forcer d
91 ce paradoxe : les ethnies sont des communautés de langues sans liens avec un territoire (point de langues autochtones en Europe
92 e langues sans liens avec un territoire (point de langues autochtones en Europe, toutes viennent d’ailleurs), mais une fois éta
93 é que chaque État est une entité qui comporte une langue nationale, une culture nationale et une économie nationale, une histo
94 désignait d’abord les groupes d’étudiants de même langue maternelle dans les villes universitaires, s’est étendu aux peuples p
95 itaires, s’est étendu aux peuples parlant la même langue , sans qu’il fût question pour autant de les enfermer dans les frontiè
96 nations correspondent à l’aire de diffusion d’une langue . Dans les frontières de la France actuelle, on parle huit langues : b
97 s frontières de la France actuelle, on parle huit langues  : breton, flamand, allemand, italien, occitan, catalan, basque, et na
98 et naturellement le français, imposé comme seule langue officielle en 1539 (édit de Villers-Cotterêts). Si la France entendai
99 la moitié de ses territoires actuels. Quant à la langue allemande, si elle devait coïncider avec un État, il faudrait annexer
100 it à l’échelon régional : lycées communs là où la langue est pareille, lycées bilingues, écoles techniques et professionnelles
101 u respect de soi que représente le sabotage de la langue maternelle par l’État national, lire le beau livre de Morvan Lebesque
26 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Nouveau départ (printemps 1974)
102 la rédaction, l’édition et la diffusion en quatre langues de Civisme européen, organe de la Campagne d’éducation civique europé
27 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
103 toriales à des réalités aussi hétéroclites que la langue parlée à la surface du sol et le minerai du sous-sol, l’économie mode
104 s très différenciées, parlant pour la plupart des langues non françaises, comme le breton, le flamand, l’occitan, le provençal,
28 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
105 n a dû vaincre, ne fût-ce que pour oblitérer sept langues par une seule, et les réduire au statut de patois !) La région ne d
29 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). C.J.B. l’Européen, 1891-1974 (printemps 1974)
106 es ni de marché intellectuel, et surtout point de langue unique qui se soit imposée à ces patries, voilà qui paraît interdire
30 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
107 enevoises, avait écrit trois opuscules dans cette langue , dont nous ne connaissons plus que quelques mots mais qui a sans aucu