1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
1 ellectuelle considérable sur le protestantisme de langue allemande. Alors qu’en France l’affirmation d’une foi religieuse pers
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
2 epuis si longtemps qu’elles parlent maintenant sa langue , adoptent ses préjugés, singent ses pires faiblesses et bénissent ses
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
3 au phénomène de l’incarnation, c’est retrouver la langue à cet état naissant dont la chimie nous dit qu’il est l’état de virul
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 hnicien, on éprouva naturellement le besoin d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions, et la nature
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
5 ge, mais bien l’insuffisance ou le mensonge d’une langue — celle du reporter par exemple — inapte à traduire le concret, le pa
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
6 s être jugement, mais dégustation, claquements de langue , savoureuse bouillabaisse d’idées, carte des vins commentée, bonhomie
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
7 l de janvier qu’un mot devient le plus beau de la langue  : matinée. Tout ce qu’il y a de clarté, d’éclat doux, d’abandon à la
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
8 e qui fait notre valeur propre dans la culture de langue française ; et d’autre part, en nous refusant aux contacts et aux éch
9 diversités de l’Europe, symbolisées par nos trois langues , nos deux religions, nos vingt-cinq républiques. Et surtout qu’on ne
9 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
10 voyez la Suisse — les vieux conflits de races, de langues et de religions sclérosés dans le nationalisme et le problème des min