1 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
1 itoriales à des réalités aussi hétérogènes que la langue parlée à la surface et l’exploitation du sous-sol, l’économie moderne
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
2  », parce que nos cantons fédérés relèvent par la langue , l’ethnie, la confession, d’ensembles très divers et très variablemen
3 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
3 ais je n’ai pas eu à choisir ! Le français est ma langue maternelle. Je me suis parfois moqué de l’accent de Neuchâtel. Mais e
4 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
4 es encore par une autre nation qui leur impose sa langue ). L’unité nationale au-dessus-de-tout, partout — Deutschland über all
5 . Il s’agit de rendre un sens à ces mots de notre langue que vos calculs ont oubliés : communauté, amitié, voisinage. j. « L
5 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
6 s cela ne se sent à le lire, personne n’écrit une langue plus claire, plus efficace, ni plus radicale, en ce sens qu’elle nous
6 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
7 s. Dans cet ensemble hétéroclite, on parle quatre langues (aujourd’hui officielles), on pratique deux confessions (qui s’affron