1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
1 adapté, voire recréé par Jacques Valette dans une langue insolite et touchante, ni petit nègre, ni bêtifiante, d’une grande fo
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
2 ns malentendus inévitables. Je ne vise pas ici la langue des traductions, encore qu’il y ait beaucoup à dire sur ce point, mai
3 ole) une appréhension si totale du réel que notre langue , je le crains, n’arrivera pas à la restituer sans bizarreries. Ceci s
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
4 peut néanmoins servir à préciser ce qui oppose la langue d’un poète aux divers jargons de son temps : c’est que l’une est une
5 rs jargons de son temps : c’est que l’une est une langue « avertie », posant un perpétuel avertissement, tandis que les autres
4 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
6 modestie et ses malices, son sens rythmique de la langue toujours si fermement articulée (habitude des lectures à haute voix),
7 ui de l’esthétique. C’est le maître-artisan de la langue , plus que l’immoraliste, qui nous importe, et qui nous intéresse au d
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
8 arque : Thomas Mann, Zweig, Valéry. Et les quatre langues suisses — n’oubliez pas le ladin des Grisons — viennent dire au desse