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nt un Pascal, un Rimbaud, véritable honneur de la
langue
française. Ainsi, un Nietzsche, qui le premier substitua délibérément
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sence est plus profonde et n’a de nom dans aucune
langue
; surtout pas en français. Ce n’est pas notre faute si la France est,
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st résultée la Suisse moderne, ce nœud gordien de
langues
, de races, de religions, d’institutions de tous les temps, qu’aucune