1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
1 e qui fait notre valeur propre dans la culture de langue française ; et d’autre part, en nous refusant aux contacts et aux éch
2 iversités de l’Europe, symbolisées par nos quatre langues , nos deux religions, nos vingt-cinq républiques. Et surtout qu’on ne
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
3 ux du pays, les ordres seront déjà donnés dans la langue de l’envahisseur. Voici alors ce que nous disent ces voix européennes
4 te l’espérance œcuménique. Connaître le voisin de langue ou de confession différente ; lui reconnaître le droit de différer de
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
5 n sera capable d’intégrer et des « races » et des langues nouvelles : c’est ce qui se produit au commencement du siècle suivant
6 es, l’union paisible de deux religions, de quatre langues , de 22 républiques, et de je ne sais combien de « races » en un État
7 é intellectuelle, méfiance à l’égard du voisin de langue ou de confession, crainte perpétuelle d’être majorisé. Notons que cet