1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 tout simplement, ne plus réimprimer de livres en langue française : ceux qu’on faisait à Paris sur du mauvais papier ne se co
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
2 ’aient pas encore trouvé son équivalent dans leur langue . 20 janvier 1941 Music-hall. — Je me suis enfin décidé à faire
3 français » sont les moins traduisibles dans leur langue , à moins qu’on ne les illustre abondamment… Écrire ce livre sur la Su
4 sont mis à produire un bruit que nul mot d’aucune langue à tout jamais ne saurait exprimer. À ma droite, les girafes ont dansé
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
5 1942 Échantillons. — Voici donc la section de langue française d’un organisme américain qui tient le rang et joue le rôle
6 ue à manier de petits pinceaux puérils et tire la langue pour ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le
4 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 ⁂ Que serait-ce d’être un grand écrivain dans une langue morte ? Ou dans une langue parlée seulement par une petite peuplade d
8 rand écrivain dans une langue morte ? Ou dans une langue parlée seulement par une petite peuplade dispersée ? Or une partie de
9 dans la brume d’été flottant sur la rivière… Une langue de lumière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur l
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
10 à Paris, comme à Londres et même à Berlin. Or la langue française nous apprend que celui qui ne peut rien, fût-il un grand es