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le monde entier, exception faite de deux pays de
langue
espagnole, que nous appellerons secondaires. Et voici mon espoir, dan
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, ce qui se traduit un peu malaisément dans notre
langue
par liberté de parole et de religion, libération de la misère et de l
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ues heures d’avion. Ce n’est rien de traduire une
langue
: les problèmes nationaux restent intraduisibles pour qui ne peut y a
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ents « d’union sacrée » où chacun s’écrie dans sa
langue
« right or wrong, my country ! » Mais le gouvernement mondial, où tro
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ns tous fondus dans un magma informe de races, de
langues
, de religions et de coutumes, et toutes les différences qui font le g