1
ais ? À qui le Valais ? Au-delà de Sion il est de
langue
germanique. On le couperait en deux ? Merci, mais les Valaisans donne
2
niversitaire, comme il tient à l’intégrité de ses
langues
; il en reconnaissait trois en 1937, l’allemand, le français, l’itali
3
in de la haute vallée de l’Inn. De « question des
langues
» dans la Confédération, il n’y en a point, et jamais la majorité alé
4
forte de ses trois millions de ressortissants, la
langue
française ni la langue italienne, ni même les patois réto-romans, au
5
ions de ressortissants, la langue française ni la
langue
italienne, ni même les patois réto-romans, au contraire. Tout cela em
6
ée officielle des cités romandes et du Tessin (de
langue
italienne) portèrent le nombre des États fédérés à 22, en 1815 seulem
7
tits États souverains différents à la fois par la
langue
, par la religion et par le mode de vie, les uns campagnards, les autr
8
me aussi d’une Europe à venir où les races et les
langues
ne lutteraient plus que pour enrichir le patrimoine commun, elle se s
9
c ses vingt-cinq États « souverains », ses quatre
langues
, ses deux confessions, ses climats contrastés, ses économies juxtapos
10
malement un citoyen : frontières communes pour la
langue
, la culture, la race, la religion, les mœurs, le droit, l’économie, l
11
possibles, mais courantes. Car les frontières des
langues
ne sont pas celles des religions ; celles des cantons ne sont pas cel
12
terminer : les partis politiques, les cantons, la
langue
, la religion. Comme il n’y a que sept conseillers, il est impossible
13
forces existantes. Le dosage des religions et des
langues
est le moins malaisé : on compte généralement deux conseillers cathol
14
la diction sans apprêt. L’usage courant des trois
langues
officielles contribue sans nul doute à ralentir les réactions et réfl
15
ntons contigus, qui se trouvent être à la fois de
langue
allemande, ruraux, relativement pauvres, et qui ne diffèrent donc que
16
bulent que le premier, moins brillant et délié de
langue
que le second, il tend à se conformer à cette « honorable moyenne » q
17
d’études conduisant au baccalauréat : le type A (
langues
anciennes), le type B (latin et langues modernes), le type C (science
18
e type A (langues anciennes), le type B (latin et
langues
modernes), le type C (sciences), et le type D (langues modernes et sc
19
es modernes), le type C (sciences), et le type D (
langues
modernes et sciences économiques). L’évolution générale, comme en tan
20
ous les cantons, des deux religions et des quatre
langues
. 30. Un des plus fins moralistes du xixe siècle en Suisse, Félix Bo
21
’endroit de leur patrie. La race, la religion, la
langue
, la culture, parfois même la doctrine du parti au pouvoir, coïncident
22
ue la Confédération a non seulement reconnu comme
langue
nationale le romanche (parlé par moins de 40 000 habitants) mais, par
23
ent du grand ensemble auquel il appartient par la
langue
officielle et la tradition littéraire. Alémaniques et Romands descend
24
e dialectes romands. Le français de France est la
langue
de tous les jours et non pas seulement de la littérature ou des actes
25
tachent naturellement par la culture comme par la
langue
et la religion, à l’Italie du Nord. Leur esprit libertaire n’est pas
26
est un dialecte semblable à celui du Milanais. La
langue
officielle est l’italien, qui n’est pas seulement utilisé par 146 000
27
uls dans toute l’Europe à parler et à écrire leur
langue
celto-romane, qu’on ne peut rapprocher que de l’ancien provençal. ⁂ L
28
est antérieure, soulignons-le, à la diversité des
langues
et des religions, diversité qui contraignit la Suisse moderne à une n
29
es trois ou quatre auteurs qui aient su écrire la
langue
allemande. 44. À vrai dire, l’allemand déborde à l’ouest jusqu’à la