1
parce que les premiers chrétiens et les Pères de
langue
grecque l’emploieront pour désigner l’amour divin et l’amour fraterne
2
ui régit le sentiment amoureux. Dira-t-on que nos
langues
modernes possèdent elles aussi la plupart de ces mots d’amitié, de te
3
rme unique qui manque au grec, comme à toutes les
langues
de l’Asie sans exception. Il est caractéristique de l’Europe chrétien
4
chaînés sur l’Europe entière, et parlant une même
langue
nouvelle, rénovant d’un seul coup pour des siècles la musique et la p
5
où il existe, dans sa finitude, et lui parlant la
langue
qu’il entend. Mais alors le message devient énigmatique dans la mesur
6
dernière, peut-être, pour les hommes auxquels la
Langue
a été donnée. C’est cette question que le 23e des « Sonnets à Orphée
7
u solution d’un problème zen par le poète, par la
langue
, la langue vivante des images, non des concepts. C’est ainsi, finale
8
d’un problème zen par le poète, par la langue, la
langue
vivante des images, non des concepts. C’est ainsi, finalement, par l