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ient absurdes aujourd’hui. Le fait que toutes nos
langues
sont transitoires, qu’elles évoluent et qu’elles passeront un jour ne
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se divisèrent parce qu’ils se mirent à parler des
langues
différentes. Notre situation est pire : nous prononçons tous les même
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rt qu’en insistant pour que la messe soit dite en
langue
vivante (comme elle l’était à l’origine) les jeunes prêtres romains s
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n se refermant sur sa spécialité, se forgeant une
langue
singulière au mépris de tout « sens » commun, et convoquant enfin, à
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ose de surprenant. L’image physique qui, dans les
langues
sémitiques, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstrai
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l’Église anglicane dont le Prayer Book a formé la
langue
des poètes depuis près de quatre siècles, et dont le rôle dans l’hist
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, et dont il faudra s’occuper… 3. Le besoin d’une
langue
unique capable de traduire le langage universel de Jésus a conduit le
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tin liturgique : or plus personne ne comprend ces
langues
, sauf les prêtres ! Faudra-t-il adopter désormais une nouvelle langue
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tres ! Faudra-t-il adopter désormais une nouvelle
langue
vivante universelle — l’anglaise serait alors la mieux placée — ou dé
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décider que la liturgie sera dite partout dans la
langue
du pays, formule protestante ? Mais il est clair que cette traduction