1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 ient absurdes aujourd’hui. Le fait que toutes nos langues sont transitoires, qu’elles évoluent et qu’elles passeront un jour ne
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
2 se divisèrent parce qu’ils se mirent à parler des langues différentes. Notre situation est pire : nous prononçons tous les même
3 rt qu’en insistant pour que la messe soit dite en langue vivante (comme elle l’était à l’origine) les jeunes prêtres romains s
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
4 n se refermant sur sa spécialité, se forgeant une langue singulière au mépris de tout « sens » commun, et convoquant enfin, à
5 ose de surprenant. L’image physique qui, dans les langues sémitiques, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstrai
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
6 l’Église anglicane dont le Prayer Book a formé la langue des poètes depuis près de quatre siècles, et dont le rôle dans l’hist
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
7 , et dont il faudra s’occuper… 3. Le besoin d’une langue unique capable de traduire le langage universel de Jésus a conduit le
8 tin liturgique : or plus personne ne comprend ces langues , sauf les prêtres ! Faudra-t-il adopter désormais une nouvelle langue
9 tres ! Faudra-t-il adopter désormais une nouvelle langue vivante universelle — l’anglaise serait alors la mieux placée — ou dé
10 décider que la liturgie sera dite partout dans la langue du pays, formule protestante ? Mais il est clair que cette traduction