1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 de même que pour se tirer des confusions de notre langue , les poètes ont coutume de rapporter les mots à leurs origines lointa
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 aient été ceux des Celtes.16 » L’art roman et les langues romanes attestent l’importance de l’héritage celtique. Plus tard, ce
3 été au doigt… Mais je m’aventure trop : assez, ma langue  ! Car trop parler est pis que péché mortel. Or nous avons de ce même
4 d à l’Andalousie, la poésie arabe est une, par la langue et l’échange continu. L’Andalousie touche aux royaumes espagnols, don
5 e qu’elle n’osait et ne pouvait avouer ni dans la langue des clercs, ni dans le parler vulgaire. La poésie courtoise est née d
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
6 eut démontrer, historiquement, qu’elle a donné sa langue à la passion. Si la littérature peut se vanter d’avoir agi sur les mœ
7 s. On traduit le Roman de Tristan dans toutes les langues d’Occident. L’Anglais Thomas Malory, à la fin du xve siècle, en refa
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
8 nus, publiés et traduits aujourd’hui en plusieurs langues . L’inspiration cathare et cistercienne s’y manifeste dans les formes
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
9 en haine des croisés envahisseurs, et lié par la langue aux troubadours, mais qui n’aime guère qu’un étranger vienne se mêler
10 ie anglaise reprit la même note, et rien dans les langues modernes d’Europe n’a l’équivalent des délices qu’elle renferme. ») M
11 i consiste en le passage du vers latin au vers en langue vulgaire, d’oïl ou d’oc. Et l’on découvre que ce passage s’est opéré