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de même que pour se tirer des confusions de notre
langue
, les poètes ont coutume de rapporter les mots à leurs origines lointa
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aient été ceux des Celtes.16 » L’art roman et les
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romanes attestent l’importance de l’héritage celtique. Plus tard, ce
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été au doigt… Mais je m’aventure trop : assez, ma
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! Car trop parler est pis que péché mortel. Or nous avons de ce même
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d à l’Andalousie, la poésie arabe est une, par la
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et l’échange continu. L’Andalousie touche aux royaumes espagnols, don
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e qu’elle n’osait et ne pouvait avouer ni dans la
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des clercs, ni dans le parler vulgaire. La poésie courtoise est née d
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eut démontrer, historiquement, qu’elle a donné sa
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à la passion. Si la littérature peut se vanter d’avoir agi sur les mœ
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s. On traduit le Roman de Tristan dans toutes les
langues
d’Occident. L’Anglais Thomas Malory, à la fin du xve siècle, en refa
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nus, publiés et traduits aujourd’hui en plusieurs
langues
. L’inspiration cathare et cistercienne s’y manifeste dans les formes
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en haine des croisés envahisseurs, et lié par la
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aux troubadours, mais qui n’aime guère qu’un étranger vienne se mêler
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ie anglaise reprit la même note, et rien dans les
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modernes d’Europe n’a l’équivalent des délices qu’elle renferme. ») M
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i consiste en le passage du vers latin au vers en
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vulgaire, d’oïl ou d’oc. Et l’on découvre que ce passage s’est opéré