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fférence ni aucune minorité, ni la Nature, ni les
langues
et coutumes des régions, ni les droits de la personne humaine, fondem
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ndications sont toujours les mêmes : droit à leur
langue
historique dans tous les domaines de la vie publique (écoles, conseil
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ette ethnie dominante n’imposant pas seulement sa
langue
, dite « littéraire », aux « dialectes » des peuples conquis, mais ses
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s dépourvus d’unité historique, mais parlant même
langue
ou dialectes semblables, par-dessus les frontières qui séparent actue
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de la Regio basiliensis : tous y parlent la même
langue
réelle, sinon officielle dans la partie alsacienne. Mais dans la régi
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é » par les Puissances à l’État de Berne, pays de
langue
et de confession différentes. D’où le mouvement séparatiste (et pas s
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s « nations » (au sens ancien du terme : ethnies,
langues
). Ils sont les plus éloquents à revendiquer, au niveau européen, le r
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l’Occitanie des troubadours n’était encore qu’une
langue
militaire, non littéraire. Plus tard, l’ethnie conquérante qualifiera
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thnie conquérante qualifiera de « dialectes » les
langues
souvent plus anciennes et plus riches des « nations conquises ». Qu’e
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iches des « nations conquises ». Qu’est-ce qu’une
langue
? C’est un dialecte plus une armée, disait W. Sombart. 25. Derrière