1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 fférence ni aucune minorité, ni la Nature, ni les langues et coutumes des régions, ni les droits de la personne humaine, fondem
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
2 ndications sont toujours les mêmes : droit à leur langue historique dans tous les domaines de la vie publique (écoles, conseil
3 ette ethnie dominante n’imposant pas seulement sa langue , dite « littéraire », aux « dialectes » des peuples conquis, mais ses
4 s dépourvus d’unité historique, mais parlant même langue ou dialectes semblables, par-dessus les frontières qui séparent actue
5 de la Regio basiliensis : tous y parlent la même langue réelle, sinon officielle dans la partie alsacienne. Mais dans la régi
6 é » par les Puissances à l’État de Berne, pays de langue et de confession différentes. D’où le mouvement séparatiste (et pas s
7 s « nations » (au sens ancien du terme : ethnies, langues ). Ils sont les plus éloquents à revendiquer, au niveau européen, le r
8 l’Occitanie des troubadours n’était encore qu’une langue militaire, non littéraire. Plus tard, l’ethnie conquérante qualifiera
9 thnie conquérante qualifiera de « dialectes » les langues souvent plus anciennes et plus riches des « nations conquises ». Qu’e
10 iches des « nations conquises ». Qu’est-ce qu’une langue  ? C’est un dialecte plus une armée, disait W. Sombart. 25. Derrière