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té fournie d’une manière très convaincante par la
lecture
des deux grands recueils de documents sur Nicolas que publiait, au le
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: la partie du culte qui n’est pas le sermon, les
lectures
, prières et chants réglés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j
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ous appelons « liturgiques » et qui consistent en
lectures
bibliques ou littéraires, entrecoupées de chants et de jeux d’orgue.
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oi ou son sommaire (l’assemblée assise) (après la
lecture
, chant spontané : « Mon Dieu, ta loi est sainte… mais si tu comptes n
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remise… Mon âme, bénis l’Éternel… »). VI. Credo (
lecture
du Symbole des apôtres. L’assemblée reste debout). VII. Alléluia (cha
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genouiller pour la prière publique, ou pendant la
lecture
de la confession des péchés, par exemple, comme cela se fait dans les