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ent cette désaffection des grandes masses pour la
lecture
? Est-ce la faute du public, ou bien des écrivains ? Et avant d’y por
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(bien plus semblable au second qu’au premier) la
lecture
, aujourd’hui, n’est plus du tout ce qu’elle était au siècle passé pou
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ués à de faibles succès. C’est le sens même de la
lecture
qui s’est perdu. Et s’il s’est perdu, je le répète, c’est que les plu
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ions. Denis de Rougemont. — Je suis frappé par la
lecture
de cet article 49, paragraphe 5, qui dit que dans le cas d’un conflit
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l’automne, ces tâches bloquant tout, écriture et
lectures
. À la seule exception d’une plongée de quelques jours dans Nerval : j