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le lui est révélée par l’Évangile qui sauve. ⁂ La
lecture
du Traité n’est pas des plus aisées. Les termes hégéliens qui abonden
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et d’angoisse insondable qui nous bouleverse à la
lecture
des Stades, on trouvera ici l’exposé judicieux, parfois même bonhomiq
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s, Paris, 3 novembre 1934, p. 3. i. Une note de
lecture
plus courte du même roman a également paru dans le Journal de Genève
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ur. Rien de plus excitant pour l’esprit que cette
lecture
, passionnante non seulement à cause du pittoresque violent des faits,
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areils traits. Grâce à quoi l’on ressort de cette
lecture
plus édifié encore que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10. Hi
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s, Paris, 2 novembre 1935, p. 5. n. Une note de
lecture
sur le même livre a également paru dans la Nouvelle Revue française d
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prévu et d’aisance, entretient tout au long de la
lecture
une euphorie de l’imagination dont nous pensions que le secret s’étai