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sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques
lectures
, depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
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ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la
lecture
de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle44 — le pré
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vine, rendait possible une confrontation. Mais la
lecture
des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
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vaient pas seulement être présentés sous forme de
lecture
, mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
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ns une atmosphère romantique entretenue par leurs
lectures
, par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
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s compositions musicales manifestaient diverses «
lectures
» assez libres de mon ouvrage. Voilà qui pourrait être vérifié — et l
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pleines. Je crois bien que les deux tiers de mes
lectures
sur cathares et troubadours, depuis que je travaille le sujet, je les
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Delay que mon livre lui avait expliqué ce que (sa
lecture
de) Freud n’avait pu faire, et Jean Delay consacre à cela vingt-cinq
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, comme l’avaient décidé les cours d’amour. Cette
lecture
de mon livre est erronée. Qu’on m’en félicite ou m’en blâme, ce n’est