1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
1 sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques lectures , depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle44 — le pré
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
3 vine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
4 vaient pas seulement être présentés sous forme de lecture , mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
5 ns une atmosphère romantique entretenue par leurs lectures , par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
6 s compositions musicales manifestaient diverses «  lectures  » assez libres de mon ouvrage. Voilà qui pourrait être vérifié — et l
7 pleines. Je crois bien que les deux tiers de mes lectures sur cathares et troubadours, depuis que je travaille le sujet, je les
8 Delay que mon livre lui avait expliqué ce que (sa lecture de) Freud n’avait pu faire, et Jean Delay consacre à cela vingt-cinq
9 , comme l’avaient décidé les cours d’amour. Cette lecture de mon livre est erronée. Qu’on m’en félicite ou m’en blâme, ce n’est