1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 Bohême, et par son adversaire le pape Pie II, au lendemain de la chute de Byzance. Dans les deux cas, on propose une armée commu
2 les constitutions de l’Italie et de la France, au lendemain de la guerre de 39-45. L’actuelle constitution française l’a supprimé
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 t d’un usage bien plus ancien : il paraît déjà au lendemain de la bataille de Poitiers (732) dans l’œuvre d’un clerc espagnol : i
4 r sens, si vraiment nous cessions de croire qu’un lendemain plus vaste et libre reste ouvert. De plus, il serait faux de penser q
5 ans le temps mythique des origines. L’idée que le lendemain puisse apporter des innovations bénéfiques, que les petits-fils puiss
6 r, ils préfèrent nous parler de notre éclipse. Au lendemain de la Première Guerre mondiale déclenchée par l’Europe, en 1919, Paul
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
7 , a inspiré les « traités de banlieue » signés au lendemain de la Première Guerre mondiale — Versailles, Saint-Germain, Trianon,
8 é sacrée. La solution qui s’impose finalement, au lendemain de la guerre civile dite du Sonderbund (1847), fut la suivante : loin
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 ent dans l’enthousiasme des premiers congrès, aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale. Du moins, cette fédération de régions