1 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
1 uie qui est diabolique, mais c’est de le faire au lendemain d’un discours où l’on invoque « le droit des peuples à disposer d’eux
2 , les peuples de la terre vont s’éveiller dans un lendemain d’ivresse, une gueule de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai tr
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
3 scente de lit. Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain , il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je battu ? lui dit-elle ? Si tu ne
3 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
4 es vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleurs, car l’Ecclésiaste avait raison, « les hommes ne savent rie
4 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
5 re européen de la culture, et que j’ai appelé, au lendemain de sa mort prématurée en 1957, « le seul grand poète luthérien de lan