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on. Il y aurait quelque chose de nouveau dans les
lettres
si tous les essayistes étaient tenus à rendre un compte public des fi
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nées d’une révolution, non d’une émeute dans les
lettres
. Pour qu’une école se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n
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rfaitement défini : « badaud de la République des
Lettres
, ayant sa place à la terrasse du café de leur commerce, emboîtant le
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Bergson.) Nous n’aimons plus cette autarchie des
Lettres
, où les problèmes réels, sociaux, métaphysiques, viennent tout juste
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e phrase merveilleuse qu’ils ont fait imprimer en
lettres
grasses : « Tout notre programme municipal tient en un seul mot : nou
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e aux chômeurs, pose de deux nouvelles boîtes aux
lettres
; ouverture d’un chalet de nécessité pour hommes et dames sur la plac
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alent ». (La discontinuité de notre chronique des
Lettres
ne traduit d’ailleurs pas nécessairement des intermittences de la pro
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, c’est une autre « école suisse » qui domine les
lettres
françaises ; après Rousseau : Constant et Staël, et toute la petite c
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oordonné par Denis de Rougemont et ouvert par une
lettre
de C. F. Ramuz, que Rougemont commente ici en introduction.
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n à tort, entretenus par le capitalisme. Dans une
lettre
fameuse adressée par Lénine à la camarade Zetkin, le chef décrit ce d
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iage » (décembre 1938)aq Nous annoncions deux
lettres
dans notre dernier numéro. Une erreur de montage a fait sauter la sec
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a réponse de Rougemont. La voici : Au sujet de la
lettre
du R. P. Lavaud — je n’ai rien voulu dire d’autre que cela même que p
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mais bien son fondement biblique. À propos de la
lettre
de Miatlev. — Non, je ne « prétends pas classer Lawrence parmi ceux q
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cette chronologie !) Ainsi toute la partie de ma
lettre
relative à l’histoire « objective » se trouve être un mauvais résumé
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je vous citerai en confidence deux phrases d’une
lettre
reçue hier, et relative à mon Amour : « Quand j’étais jeune, j’aura
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embre 1939, p. 760-765. Une note précise avant la
lettre
: « Le dialogue qui s’est poursuivi entre Rougemont et Davenson, aprè
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un fait n’est qu’un signe dans une équation, une
lettre
ou une virgule dans une phrase, on ne peut le lire qu’avec tout le co
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, Esprit, Paris, n° 306, mai 1962, p. 877-878. La
lettre
de Rougemont est précédée de l’introduction suivante de Jean-Marie Do
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e et l’Europe” (Esprit, mars 1962), j’ai reçu une
lettre
de Denis de Rougemont dont on trouvera le texte ci-dessous. Toute pol