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sol, un grand cercle entourant une inscription en
lettres
capitales bien arrondies : martine je suis aux champs Paix du
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ans. Ce qui fut sans doute tout bénéfice pour les
lettres
? Je rapporte quatre manuscrits, dont trois sont terminés et vont êtr
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’articles intitulé Vues sur l’Amérique ; et 18
Lettres
sur la bombe atomique (qui seront traduites en anglais, en danois, e
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er entièrement à mes livres. Quelques-unes de vos
lettres
sur la bombe atomique ont paru dans Le Figaro ? Oui, elles ont caus
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est encore un espoir (8 décembre 1949)i Votre
lettre
est la meilleure preuve de l’urgence de notre congrès. Elle dit tout
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ivez, mais encore on va l’imprimer, puisque votre
lettre
est « ouverte ». C’est qu’il y a donc encore un peu d’Europe vivante.
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sion de l’Europe ». J’en vois une autre, et votre
lettre
la traduit d’une manière émouvante. C’est l’illusion causée par la dé
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8 décembre 1949, p. 1. Rougemont répond ici à une
lettre
ouverte de Virgil Gheorghiu parue dans le même numéro, à l’occasion d
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chef, à mes sentiments bien cordiaux. l. « Une
lettre
de Denis de Rougemont », Gazette de Lausanne (supplément littéraire),
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eaux d’annonces. Soudain, mon nom en très grosses
lettres
sur une affiche. « À 3 heures, dans la Salle de Bal, D. de R., présid
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rope que nous donnait Paul Valéry dans sa célèbre
Lettre
sur la société des esprits, publiée vers 1920 : « Les Européens se so
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dans la théologie et la philosophie, ni dans les
lettres
. Mais cette disparité n’a rien de rassurant, tout au contraire : elle
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firent preuve dans leur Correspondance (voir les
lettres
à von Preen de l’aîné, celles à Hofmannsthal du cadet), mais plutôt q
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s après le monde des enfances, entre le monde des
lettres
et celui de l’action — et l’on dirait ici qu’un nouveau livre se prop
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, voilà de quoi se fait un style, unique dans nos
lettres
romandes. Entre le Paul Morand des descriptions de la Belle Époque, r
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y allais un peu fort. Nous avons échangé quelques
lettres
assez vives. Pour ma part, j’étais relié aux trois mouvements, n’ayan
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propédeutique) on enseigne les « arts libéraux »,
lettres
et sciences nécessaires aux professions dites libérales. (Quelques ch
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s, s’obstine à le traiter d’éminence grise de nos
lettres
. Il était tout le contraire : un maître socratique, indemne de toute
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r un coup de téléphone. Il dictait à sa femme les
lettres
moins intimes. Germaine et Jean, dans ce petit bureau mansardé de la
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ques chances d’exister. J’ai retrouvé la première
lettre
qu’il m’ait écrite, en 1926. M’ayant lu dans la Revue de Genève , il
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paule. Mounier notera drôlement, à propos de mes
Lettres
sur la bombe atomique , que j’écris « un œil sur l’Éternel et l’autre
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et Barrès pour un général. Paul Valéry attend des
Lettres
ce qu’un philosophe n’ose pas toujours espérer de la philosophie : il
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taire. Je ne sais s’il est vrai que les hommes de
lettres
se soient contentés jadis de distraire d’honnêtes gens. (Ils le disai
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révélé. Il n’est pas une joie de l’esprit que les
Lettres
ne leur doivent. Et qui pourrait tolérer, se demande un jeune homme,
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devenus plus exigeants. Il se peut aussi que les
Lettres
soient devenues moins donnantes. Tout se passe comme s’il y avait à l
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îtres, et ils ont toute mon amitié. J’ai reçu une
lettre
, récemment, où une dame me reproche mon mépris à l’égard des institut
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t pas responsables. J’ai d’ailleurs reçu d’autres
lettres
d’instituteurs qui souffrent d’être paralysés dans le système actuel,
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mâmes d’abord un alphabet, où il introduisait les
lettres
grecques. Puis nous commençâmes un dictionnaire dans lequel chaque mo