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is les nouvelles de l’Opéra aussi sont en grosses
lettres
, et tout cela finira bien par s’arranger, comme au dernier acte d’une
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ur les défauts économiques du New Deal, suivis de
lettres
d’abonnés discutant les opinions publiées les jours précédents. À côt
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que jour exprimée dans toutes ses nuances par des
lettres
aux journaux, des articles de magazines, des interviews, des débats c
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mais l’ordre de bataille de l’armée rouge. m. «
Lettre
aux Députés européens », Journal de Genève, Genève, n° 100, 15 août 1
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ens (16 août 1950)n Messieurs les députés, Ces
lettres
ne sont pas un cahier de doléances ou de revendications. Et je n’ai p
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le passage des vœux aux volontés. n. « Deuxième
lettre
aux députés européens », Journal de Genève, Genève, n° 101, 16 août 1
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ons qui n’attendons qu’un signe. o. « Troisième
lettre
aux députés européens : L’orgueil de l’Europe », Journal de Genève, G
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plus, ni rien de moins de vous. p. « Quatrième
lettre
aux Députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party », Jour
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été, en septembre, à Strasbourg. q. « Cinquième
lettre
aux Députés européens : “Méritez votre nom !” », Journal de Genève, G
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licité fut inventée. Voltaire n’écrivait plus une
lettre
aux princes intellectuels et temporels de l’Europe sans y ajouter un
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qu’à la première. Au cours de cette audience, une
lettre
de l’écrivain et professeur Denis de Rougemont a été lue par le prési
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ansmise que nous publions ci-dessous. » z. Cette
lettre
est suivie du commentaire suivant de Bernard Béguin, intitulé « Le “t
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hef, J’ai été surpris de vous voir répondre à une
lettre
que j’avais adressée au président d’un tribunal militaire et que vous
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me reste à vous remercier d’avoir, en publiant ma
lettre
, ramené l’attention de vos lecteurs sur le grave problème qui l’avait
20
u suivant : « Nous avons publié lundi dernier une
lettre
que le professeur Denis de Rougemont avait adressée le vendredi précé
21
ue lors de l’audience publique du Tribunal, cette
lettre
, ou plutôt l’une de ses copies, nous fut transmise par l’un des camar
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bombe atomique, je disais en post-scriptum à mes
lettres
: « Un dernier mot, et dire que j’allais l’oublier : la bombe n’est p
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e répondu à cette question, sur le fond, dans ma
Lettre
ouverte aux Européens : « La révolution que j’appelle, qui fera seul
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tes » et fut pour moi à l’origine d’un échange de
lettres
assez nourri avec Montherlant. Ce dernier alla même jusqu’à m’envoyer
25
» J’étais bien entendu très fier de recevoir des
lettres
de celui que je considérais comme un merveilleux écrivain. Mes débuts