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ériences d’alchimie, ou, comme il le dit dans une
lettre
de cette époque, de « chimie cabalistique ». Je voudrais surtout rete
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hacun puisse les lire comme s’il s’agissait là de
lettres
écrites précisément pour lui, encore que leur contenu demeure fort éq
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cette idée : que la Bible doit être lue comme une
lettre
qui nous est personnellement adressée, et non pas comme un récit pure
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doute une propension fondamentale à préférer à la
lettre
du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, f
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rconscrire dans un domaine privilégié : celui des
lettres
et de leur morale, qui est l’esthétique. Les problèmes qui nous sont