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ymologique et comparée d’anatomie et d’atome. Ma
lettre
vous paraîtra frivole, je le crains. Mais l’événement, il faut l’avou
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évêques, popes, rabbins et curés ont adressé des
lettres
à leurs journaux. Leur opinion moyenne est qu’il est criminel non poi
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Et je décide de m’y abandonner le temps de cette
lettre
. Ce qui me stupéfie, c’est la paresse et la mollesse de l’imagination
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tion qui me venait à l’esprit dans une précédente
lettre
: la seule défense d’une ville est sa mobilité. J’entends bien : sa m
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litaire, m’obligent à vous demander de relire mes
lettres
. J’avais tout réfuté d’avance. Mais je m’aperçois que votre attitude
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at… Mais c’en est trop pour aujourd’hui. Et cette
lettre
est déjà bien pesante. Avant que vous n’en receviez la suite, puissen
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utez-vous moins poliment. Et je relève dans votre
lettre
les termes attendus d’« idéalisme », d’« optimisme béat », de « fanta
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e cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma
lettre
sur la mort de la guerre3 m’écrit que je suis un primaire. Il m’assur
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et d’ailleurs de n’importe quoi. Il ajoute que ma
lettre
, dans sa forme, est « nettement péjorative vis-à-vis de l’armée, de l
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s.) Ce colonel m’a donné une idée. En reposant sa
lettre
je me suis écrié : « Vivement la Bombe ! Suprême élément d’ordre ! »
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N. J.), le 19 décembre 1945. Enfin ! Après quinze
lettres
nous y sommes. Je tiens l’aveu : « Que voulez-vous, j’aime l’armée !
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eu importe à l’argument que je développe dans ces
lettres
, de savoir si j’aime ou n’aime pas le métier des armes : il ne sert p
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t tout ce que je vous ai dit dans mes précédentes
lettres
au sujet des armées, des frontières, des nations souveraines et du po
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abilité d’une fin du monde par raz-de-marée (voir
lettre
xvii ). Une précision supplémentaire, donnée à propos des cochons, no
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propos des cochons, nous ramène d’autre part à ma
lettre
deuxième, où j’annonçais la mort de la guerre militaire. Voici. L’on