1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 que jour exprimée dans toutes ses nuances par des lettres aux députés et aux journaux, des articles de magazines, des interview
2 usqu’à ce que le président, ayant reçu cent-mille lettres de protestation, décide que les transports doivent transporter, avant
3 S’il rate, il sera vidé sans autres formes qu’une lettre personnelle du président, qu’il pourra lire le jour même dans le jour
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 se pratiquement du prolétaire au millionnaire des lettres . Je ne connais que peu d’exceptions. Et de même vous ne trouverez rie
5 . Je rougis, je pâlis, j’écris aux rédacteurs une lettre dont voici le début : « Messieurs, veuillez considérer la phrase suiv
6 s soin de mon article. » II Un peu soulagé par ma lettre , je me trouvai plus libre d’esprit pour discuter, à quelque temps de
7 ec un jeune journaliste américain. Il avait lu ma lettre et souriait sans mot dire. Je sentis qu’il trouvait que j’avais exagé
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 ce texte, comme un graphologue intuitif tient une lettre à peine regardée, et que vous tentez de formuler ce qu’il évoque dans
9 , que soupire le GI loin du foyer, dans ces trois lettres fatidiques qui sont le secret de millions de drames matrimoniaux, sex
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
10 n ceci : cultiver le goût, parler des arts et des lettres , savoir deviner l’année d’un grand cru, s’exprimer avec élégance, obs
11 ésident écrit : « Mon cher Harold » en tête d’une lettre par laquelle il renvoie son ministre de l’Intérieur, cela ne relève p
12 un fait n’est qu’un signe dans une équation, une lettre ou une virgule dans une phrase, on ne peut le lire qu’avec tout le co