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rahi par les plaisanteries souvent féroces de ses
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à des petites filles. L’adultère, de nos jours, ne conduit qu’au divo
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ensuit, hommages en Occident, outrages en URSS et
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de cosaques zaporogues au Kremlin, tout est scandaleusement normal, j
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oris Pasternak adresse au Maître de la Russie une
lettre
pathétique dont l’essentiel tient en ces deux phrases : « Le départ h
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t de se passer dans la vie de Boris Pasternak. Sa
lettre
au Maître du Kremlin, nous en lisons les termes anticipés dans la scè
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ntôt il les excite à une loquacité intarissable —
lettres
d’amour, traités mystiques — et procédant généralement par antithèses
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’ils servent dans un esprit nouveau, non selon la
lettre
.57 » Cette liberté seule « vraie » ne peut être le terme d’aucune esp
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donnés à l’Europe sont parmi les plus grands des
Lettres
de ce temps. Ils illustrent, au même titre que ceux qu’on a cités d’e
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sieurs témoignages importants nous en demeurent :
lettres
de Rilke à leur amie commune, la princesse de Tour et Taxis, dédicace
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ifice », phrase dont Rilke lui avait dit dans une
lettre
qu’il la sentait « écrite pour lui, et contre lui ». Il suggère en pa
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haine de soi-même, formule reprise au pied de la
lettre
par tous les spirituels de tendance ascétique, avec une complaisance
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e) : Que celui qui répudie sa femme lui donne une
lettre
de divorce. Mais moi je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf
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ans sa Jeunesse d’André Gide, Jean Delay cite une
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inédite qu’adressait le fameux économiste Charles Gide à son neveu An
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e le rejetait à l’incroyance. André Gide jugea la
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de son oncle « admirable ». Elle le condamnait certes, mais avec quel