1 tait déjà celle d’Hérodote — évhémériste avant la lettre  — qui écrit dans son premier livre : Certains Grecs… abordèrent en Ph

2 et se divisait en 13 mois désignés chacun par une lettre et par un arbre. 24. Il s’agit d’une autre légende d’Europe, beaucou

3 ’Asie Mineure ; à l’ouest l’Europe. 32. Dans une lettre qu’il nous adresse au sujet de cette Anthologie. 33. Traduction de D

4 s, probablement aussi en Bohême ; dans une de ses lettres de créance, le roi appelle Antoine carbonista, charbonnier. On doit s

5 ait leurs preuves dans une foule de domaines, les lettres sont aussi florissantes que jamais. Qu’est-ce donc qui a abattu la ch

6 taient une seule et même chose. » Dans sa fameuse Lettre à Mahomet II, il énumère les ressources de la chrétienté comme étant

7 de la chrétienté, Édouard d’abord ; tandis qu’une lettre à Philippe le Bel en forme la conclusion. 66. Chr. L. Lange : Histoi

8 omme un crime »78, a paraphrasé Vitoria. Dans une lettre au connétable de Castille, Vitoria revient sur l’idée que les guerres

9 ns effets, il recourt à l’argument turc, dans une lettre au roi d’Angleterre : Vous êtes deux ou trois dans le monde chrétien

10 eur du mot, promis à des fortunes diverses. 87. Lettre du 12 octobre 1522 au pape Adrien VI. 88. Lettre du 13 janvier 1531

11 Lettre du 12 octobre 1522 au pape Adrien VI. 88. Lettre du 13 janvier 1531 au roi Henri VIII. 89. Opera, II, 501, 59.

12 e d’un gigantesque fatras de documents, copies de lettres , ou lettres écrites après coup, brouillons de discours, états financi

13 tesque fatras de documents, copies de lettres, ou lettres écrites après coup, brouillons de discours, états financiers, notes,

14 ccessifs du plan qu’il nous révèle (sous forme de lettres apocryphes ou de discours) défient la citation par la longueur des ph

15 t de nouveaux ennuis. « Il avait de l’esprit, des lettres et des chimères », dit Saint-Simon dans ses mémoires. Homme doux, mod

16 e l’abbé de Saint-Pierre. Frédéric II, dans une lettre à Voltaire99 : L’abbé de Saint-Pierre, qui me distingue assez pour m’

17 99. Frédéric II, Œuvres, tome XIV, p. 247. 100. Lettre à Grimarest, 1712. Nous la citerons plus au long, p. 119. 101. La Ro

18 ique parfois teintée de quelque ironie. Ainsi une lettre relative au projet du prince de Hesse-Rheinfels : celui-ci proposait

19 n chaque pays. Lorsque nos voyageurs sont gens de lettres , ils se munissent en partant de chez eux d’un livre blanc, bien relié

20 au contraire, sortent d’Angleterre avec de bonnes lettres de change, avec un bel équipage et une grande suite, et font de magni

21 son Espoir du Grand Seigneur, Montesquieu et ses Lettres persanes, Voltaire et son Ingénu, Rousseau et son Homme né bon. Autan

22 gion est faite de douceur et de mansuétude et les lettres y sont fort cultivées ; il en est de même des Indes où l’on s’adonne

23 remier, rêva d’une « Académie européenne ». 109. Lettre à Pierre Ier, 16 janvier 1716. Leibniz était devenu le conseiller du

24 Leibniz était devenu le conseiller du tsar. 110. Lettre à Grimarest, Hanovre, 4 juin 1712. Opera, Éd. Dutens, Genève, 1768, T

25 Éd. Dutens, Genève, 1768, Tome V, p. 65-66. 111. Lettre à Lefort, 1697, in Ernst Benz, Leibniz und Peter der Grosse, Berlin,

26 Leibniz und Peter der Grosse, Berlin, 1947. 112. Lettre à Morell, 1697. 113. Lettre au P. Verjus, 2 décembre 1697. 114. Do

27 Berlin, 1947. 112. Lettre à Morell, 1697. 113. Lettre au P. Verjus, 2 décembre 1697. 114. Don Quijote de la Mancha II, LI

28 ts des pages 5 à 11. 118. Giovanni Paolo Marana, Lettre d’un Sicilien à l’un de ses amis, contenant une agréable critique de

29 ente pour l’Europe : On ne peut pas dire que les lettres ne soyent qu’un amusement d’une certaine partie des citoyens ; il fau

30 x sur l’Europe, nous verrons que les États où les lettres sont les plus cultivées ont aussi, à proportion, plus de puissance.12

31 ar un même droit des gens, par les mœurs, par les lettres , par le commerce, par une sorte d’équilibre qui est l’effet nécessair

32 ’invention de l’imprimerie et le goût général des lettres , qui a mis entre eux une communauté d’études et de connaissances ; en

33 du goût le plus pur, et qui, à la renaissance des lettres , nous ont du moins épargné l’excessive lenteur des premiers pas. Par

34 Renaissance : À cette époque, la renaissance des lettres , la découverte de l’Amérique & du passage aux Indes, l’invention

35 es mondes, 1686, Sixième Soir, conclusion. 123. Lettres persanes, XXXIe lettre, de Rhédi à Usbek, datée de Venise. 124. Cah

36 Soir, conclusion. 123. Lettres persanes, XXXIe lettre , de Rhédi à Usbek, datée de Venise. 124. Cahiers, Sur la puissance

37 pendant les années 1765 à 1783 (Extraits de deux lettres à Madame d’Épinay), tome II, Paris, I. G. Dentu, 1818. Les fragments

38 06-1790) a bien su voir et dire dans une série de lettres écrites de Paris à ses compatriotes : Toute l’Europe est gagnée à no

39 et le Nouveau Monde ! 141. Benjamin Franklin, Lettre écrite de Paris, 1777.

40 de et pour l’humanité entière. Il écrit, dans une lettre à Goethe, le 26 janvier 1798 : Entre-temps je me suis passé le temps

41 r J. Georg und J. v. Müller, Frauenfeld, 1893. La lettre est de 1804. 163. Numéro du 2 janvier 1806. 164. Marquis de Laplace

42 eur y ait cru. Il écrit en effet, le 9 août 1819 ( lettre au comte de Marcellus) : « Je meurs avec l’Europe, je suis en bonne c

43 éalisation ! En voici une autre version, dans une lettre de Heine écrite deux ans plus tôt. Ce qu’a dit Napoléon à Sainte-Hélè

44 he oublié, voici les noms les plus populaires des lettres françaises en ce milieu du xixe siècle. Alphonse de Lamartine (1790-

45 signe. Voici, en quelques phrases, tirées de deux lettres à Montalembert, toute la philosophie de l’Objecteur le plus total aux

46 7, op. cit., tome IV, p. 349-350, 351. 365. 207. Lettres de M. Donoso Cortès sur l’Avenir de la Société Nouvelle, à M. le comt

47 e la civilisation, de la puissance, du génie, des lettres , des arts, des armes et de l’industrie : la Russie du côté de l’orien

48 rtares, et se considérant, selon les termes de la lettre du moine Philotée à Ivan III, comme « la Troisième Rome » politique e

49 ie en 1836, dans une revue de Moscou, sa première Lettre philosophique (traduite du français en russe). Toutes les ambiguïtés

50 emis et successeurs russes sont en germe dans ces Lettres  : « Il nie l’histoire de son pays, écrit Berdiaev, et sa négation est

51 la durée, de la continuité, de l’unité… Dans ses Lettres philosophiques, il reprend l’idée que la Russie n’a rien donné au mon

52 trompeuses et le luxe inutile.232 Mais dans une lettre de 1835, il pousse cette autocritique jusqu’au point « dialectique »

53 Paris, 1938, p. 15-16. Éditions Gallimard. 231. Lettres sur la Philosophie de l’Histoire, éd. Gerchenson, Moscou 1913, p. 81-

54 le professeur allemand David Strauss. Sa première lettre est datée du début de la guerre, sa seconde lettre de la fin. L’idée

55 ettre est datée du début de la guerre, sa seconde lettre de la fin. L’idée de fédération y surgit une fois de plus, comme la s

56 t qu’à un déclin, il ne peut s’empêcher, dans ses Lettres à von Preen, de porter sur l’avenir prochain (le xxe siècle) un juge

57 d., t. 43-44, p. 518. 245. E. Renan, « Première Lettre à M. David Strauss », 16 sept. 1870, in Réforme intellectuelle, Paris

58 ectuelle, Paris, 1884. 246. E. Renan, « Deuxième Lettre à M. David Strauss », 15 sept. 1871, ibid. 247. E. Renan, « Qu’est-c

59 hemin, entre l’année de la rédaction des fameuses lettres de Paul Valéry et l’année de leur publication — une jeune diplomate s

60 aléry : Variété I. « La crise de l’esprit » (deux lettres datées de 1919), Gallimard, Paris, 1924. 270. C. J. Burckhardt, Hugo

61 usée lors de la Renaissance par la découverte des lettres grecques, le génie de la Grèce n’a pas ressuscité au cours de vingt s