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idolâtrie qui consiste à soumettre l’homme à la «
lettre
» d’une législation divine, mais dont l’homme s’est emparé, et dont i
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sa chose, oubliant son Auteur. C’est alors que la
lettre
tue l’homme, au lieu de le secourir en incarnant l’esprit. Et c’est à
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’avait donnée, tuant en Jésus-Christ au nom de la
lettre
, celui dont cette lettre préparaît la venue, et qui seul lui donnait
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ésus-Christ au nom de la lettre, celui dont cette
lettre
préparaît la venue, et qui seul lui donnait son sens… Rien ne me par
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é de rétablir des ponts entre la théologie et les
lettres
vivantes, je soumets à titre d’exemples et sans nul ordre préconçu, l
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atre siècles, et dont le rôle dans l’histoire des
lettres
anglaises s’avère capital, de John Donne à T. S. Eliot, en passant pa
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e le transformer. Et l’apôtre Paul écrit dans sa
Lettre
aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mai
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compte en Europe, depuis un demi-siècle, dans les
lettres
, les arts et la philosophie, sait qu’il faut être subversif ou pessim
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e grand courant du pessimisme européen, par cette
lettre
fameuse qui nous rappelle d’abord que notre civilisation est mortelle
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’est que manière de parler abusivement prise à la
lettre
, et donc fautive. Les machines envahissent nos vies ? Si seulement !