1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
1 idolâtrie qui consiste à soumettre l’homme à la «  lettre  » d’une législation divine, mais dont l’homme s’est emparé, et dont i
2 sa chose, oubliant son Auteur. C’est alors que la lettre tue l’homme, au lieu de le secourir en incarnant l’esprit. Et c’est à
3 ’avait donnée, tuant en Jésus-Christ au nom de la lettre , celui dont cette lettre préparaît la venue, et qui seul lui donnait
4 ésus-Christ au nom de la lettre, celui dont cette lettre préparaît la venue, et qui seul lui donnait son sens… Rien ne me par
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
5 é de rétablir des ponts entre la théologie et les lettres vivantes, je soumets à titre d’exemples et sans nul ordre préconçu, l
6 atre siècles, et dont le rôle dans l’histoire des lettres anglaises s’avère capital, de John Donne à T. S. Eliot, en passant pa
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
7 e le transformer. Et l’apôtre Paul écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mai
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
8 compte en Europe, depuis un demi-siècle, dans les lettres , les arts et la philosophie, sait qu’il faut être subversif ou pessim
9 e grand courant du pessimisme européen, par cette lettre fameuse qui nous rappelle d’abord que notre civilisation est mortelle
10 ’est que manière de parler abusivement prise à la lettre , et donc fautive. Les machines envahissent nos vies ? Si seulement !