1 it substitué aux faisceaux de licteur les grandes lettres du mot Europe. Le Congrès fut inauguré en présence de tous les minist

2 urrait proposer le Mouvement européen resteraient lettre morte, s’il n’existait, en deçà et au-delà des divisions qu’il nous f

3 hes scientifiques, de l’éducation, et des arts et lettres , varie entre ½ ‰ et 1 ‰, selon les pays (et selon la manière d’établi

4 nos réformes techniques et matérielles resteront lettre morte. Une civilisation est vivante quand elle fait des plans. Elle a

5 t insuffisants, viendront trop tard, ou resteront lettre morte. Si au contraire le sentiment de leur destin commun se réveille

6 , non plus seulement de la culture du sol, ou des lettres , ou de quelque activité précise. Le terme étant entré dans l’usage co

7 onstatons qu’elle n’a cessé d’illustrer, avant la lettre , cette règle d’or du fédéralisme formulée par Louis Armand : « Dévelo

8 ance, du Zéro et l’Infini il avait reçu plusieurs lettres d’étudiants lui disant en substance ceci : « Monsieur, je crois exact

9 plus de vingt ans : l’état de nos arts et de nos lettres , en Occident, serait la preuve de notre décadence. N’est-il pas curie

10 d’expression, dans les sciences, les arts et les lettres  ; jamais non plus de conformismes plus pesants, plus acharnés à contr

11 ’Élisabeth ne s’interrogeait pas sur l’avenir des lettres ou de la culture en général ; il ne les voyait pas dans la complexité

12 influence ou parfois même les détermine avant la lettre  : Ike, en effet, ne dit pas ce qu’il pense des offres soviétiques ou

13 dans la théologie et la philosophie, ni dans les lettres . Cette disparité accroît la séparation et les distances entre le savo

14 rticiper à tous les étages décisionnels. Arts et lettres . — Toute l’histoire de nos créations est à refaire sur cette double d