1 fois ! Poussés par leurs voisins, trois hommes se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra

2 alicieux aux copains de la salle. Le président se lève  : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o

3 poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da

4 on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève , et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v

5 ence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, se lever avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner après lui, à chaque

6 se transformerait le soir en lit et d’où, sans se lever , l’on atteindrait le téléphone, la poignée du frigidaire, les boutons

7 uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha

8 appent ; tournent sur leur séant et frappent ; se lèvent et marchent à grands pas, genoux pliés, et frappent de plus en plus f

9 devant eux, de côté, derrière leur dos, les bras levés , avec une violence inouïe — s’ils venaient à rater un seul croisement

10 is. (Quand je passe devant eux, mes serviteurs se lèvent à demi.) Dehors, dans l’ombre des arcades, des milliers de dormeurs s

11  Estimez-vous qu’on peut être un bon Suisse et se lever à 9 heures ? » À l’origine du devoir et du goût de se lever tôt pour

12 heures ? » À l’origine du devoir et du goût de se lever tôt pour travailler, il y a la Bible autant que la coutume paysanne e

13 ue l’a bien dit une mauvaise langue, le Suisse se lève tôt, mais il se réveille tard. Mais qu’en est-il d’autres domaines cr