1 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
1 . Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile levée , et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit re
2 d avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perl
3 la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pou
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève , il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui
5 dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés , dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
6 leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts levés . On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
7 ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se lève , et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
8 sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève -toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
9 s brune, avec un gros collier de verre bleu… Elle lève les yeux tout droit vers moi, une seconde, parle vite à sa compagne,
10 i, une biche dresse la tête au ras des herbes, se lève , saute sur place, — n’est plus là. — J’ai poursuivi longtemps le refl
11 Matinées végétales, depuis trois jours. Je me lève à 7 heures, rassemble quelques papiers, un tome de Meister, un paquet