1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
2 is ! » Poussés par leurs voisins, trois hommes se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra
3 alicieux aux copains de la salle. Le président se lève  : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o
4 poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da
5 on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève , et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
6 es échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes levés pour sortir, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise.
7 rdres que de lui. À la fin, un des communistes se lève et résume le débat : En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu
8 bitudes » épuisent leur vertu. C’est le moment de lever son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des en
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
9 . J’étouffe un cri. À ce moment la grosse dame se lève et s’en va. Je balbutie, tremblant de colère : « Vous avez de la plac
10 nd rien. Que va-t-il se passer ? Simplement il se lève à l’arrêt : c’est un jeune homme, plutôt petit, quelconque, qui desce