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te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède.
Levez
-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et
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aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se
lever
, et lui déposait un baiser sur le front. Désormais, ces amants seront
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s de moi, et que jamais le guetteur n’annonçât le
lever
de l’aube ! Dieu ! c’est l’aube. Quelle vient donc vite ! Mais cett
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érance qui trouve enfin son objet véritable : Or
lève
-toi vers un espoir plus heureux en contemplant le ciel qui tourne aut
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s de la belle Nuit. Et la célèbre invocation : «
Levez
-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
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. 160. On lit dans le Cantique des Cantiques : «
Levez
-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p