1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e la Révolution et du romantisme, les concepts de liberté et de progrès, l’humanitarisme, le bolchévisme. L’autre philosophie e
2 ontraintes imposées dans le but de restreindre la liberté et l’initiative individuelles, et la morale des sports anglais, moral
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 e ailleurs qu’en terre romande. C’est l’esprit de liberté , tout simplement. Mais précisons : c’est bien plus que la liberté de
4 mplement. Mais précisons : c’est bien plus que la liberté de défendre sa petite hérésie personnelle et de s’affirmer aux dépens
5 et de s’affirmer aux dépens d’autrui, — c’est la liberté dans la recherche. Chose plus rare qu’on ne pense, à Aubonne on se se
6 lieu travaux et méditations. Dehors, on honore la liberté d’un culte moins platonique : n’est-ce pas Léo qui prétendit qu’on ne
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
7 rare que j’aimais dans ces brutalités, c’était ma liberté agissante. J’allais plier des résistances à mon gré, agir sur les cho
8 is je ne m’emprisonnerai pas dans ces limites. Ma liberté est de les porter plus loin sans cesse, de battre mes propres records
4 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
9 la révocation, la France passa de la plus grande liberté à la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté religieuse, Henry
10 berté à la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettait le royaume à la tête de la civilisation 
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
11 éité de ses manifestations. Gérard parle avec une liberté magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le temps et l’espace. Ce
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
12 de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté … Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
13 Surhomme, jamais absent d’ici, et je reprends ma liberté . Beausire admire Léonard d’avoir « tracé peut-être pour toujours les
14 peut-être pour toujours les limites de l’humaine liberté  ». Simond réclame « un parti pris…, un ordre de valeurs, si arbitrair
15 ier que l’existence du Christ donne à « l’humaine liberté  » des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas ; — que