1 iner. Les premiers cantons suisses reçurent leurs libertés non des suzerains de la région, mais, par-dessus leur tête, du seul e

2 ais, par-dessus leur tête, du seul empereur. Leur liberté , c’était ce qu’on nommait alors « l’immédiateté à l’Empire » (Reichsu

3 édérale (10 mai 1963)e I. La puissance ou la liberté  ? L’union de l’Europe ne pourra se faire qu’en vertu d’une volonté

4 et ce sont le besoin de puissance et le besoin de liberté . Le premier porte à vouloir des régimes unitaires, centralisés, soumi

5 ommandé, d’obéir, donc d’être libéré de sa propre liberté . Et de même, l’initiative d’un animateur sans pouvoir contraignant n’

6 , l’excès de « jeu » dans les rouages ; l’idée de liberté se trouvant obscurément assimilée à celle d’atteinte aux droits acqui

7 des États, de plus en plus incompatibles avec les libertés de la personne… Bornons là cette esquisse caractérologique des faiseu

8 u sans responsabilité et le soldat politique sans liberté . Car la personne, c’est l’homme réel, et les deux autres ne sont que

9 fin les vertus sont les mêmes dans les deux cas : liberté et responsabilité composées, quand l’équilibre vivant est atteint. Ce

10 l’optimum entre les maxima contradictoires de la liberté individuelle et de la solidarité sociale. L’histoire suisse illustre

11 cessives prudences — est la condition même de nos libertés . C’est grâce à elle que nos fonctionnaires sont rappelés au concret,

12 mais qu’unis ils pouvaient à la fois sauver leurs libertés locales et agir comme une seule nation au niveau des réalités de leur

13 amment devant le double défi de sauvegarder leurs libertés civiques et leurs coutumes nationales, mais d’assumer aussi leurs tâc

14 par elle ; et s’ils ne savent mettre à profit les libertés ainsi conquises, à la fois physiques et psychiques, personnelles et s

15 fédérales comme autant de dangers en soi pour les libertés locales ou personnelles. Ces mécanismes ont pour fonction normale de

16 l’homme européen, depuis des siècles, appelle sa liberté  ? Subordonner sans trêve les mécanismes utiles à des buts créateurs,

17 ienne, travail humain à la chaîne, aliénation des libertés essentielles et disciplines totalitaires imposées à la révolte indivi

18 seule et même démission de la personne devant sa liberté et devant sa responsabilité. Mais la personne démissionnaire accuse l

19 uts, ou pour s’en rapprocher ? Buts. Autonomie ( liberté et responsabilité) croissante des personnes, des groupes, des commune

20 es peuples a pour fins, d’une part, d’assurer les libertés et les responsabilités civiques à l’intérieur de la fédération ; d’au

21 utant que les deux additionnés. Mais cette grande liberté cosmopolite n’est pas payée au prix d’un déracinement général ; ces o

22 le et à la Charte des droits de la personne. (Les libertés de culte, d’expression et d’association sont expressément garanties ;

23 principe formateur d’exprimer et de garantir les libertés fondamentales de l’homme européen. Il en résulte immédiatement que l’

24 s fixées par l’article 3, leurs constitutions, la liberté et les droits du peuple… (etc.) Ratifiés par la majorité du peuple et

25 nie plus haut. Outre que la fédération assure les libertés d’établissement, de travail, de commerce et de circulation des biens

26 es constitutions des États membres, et toutes les libertés personnelles et publiques reconnues par la Constitution fédérale.

27 tion fédérale, révision de celle-ci, garantie des libertés , organisation et droit de disposer de l’armée fédérale, ratification

28 cette formulation au chapitre de Dictature de la liberté (Paris, 1935) dans lequel Robert Aron résume les recherches d’Arnaud

29 Reichs unmittelbar, et c’était là une garantie de liberté contre les princes de l’époque — nous dirions aujourd’hui : contre le

30 Reichs unmittelbar, et c’était là une garantie de liberté contre les princes de l’époque, — nous dirions aujourd’hui : contre l

31 ans avoir à renier leur clocher. Définition de la liberté fédéraliste. Nos meilleurs auteurs (pour ne prendre que cet exemple,

32 ssurer seuls leur défense, leur prospérité, leurs libertés collectives ou individuelles. Il faudrait examiner objectivement si,

33 , président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Auteur de 24 ouvrages qui ont été traduits en 12 langu

34 es lettres d’immédiateté qui garantissent leurs «  libertés  » et les dégagent de la tutelle des grands dynastes voisins, c’est à

35 , pour rappeler que la paix, la prospérité et les libertés de l’Europe ne seront rétablies que par cette union-là. C’est comme «

36 servitude de la corruption… pour avoir part à la liberté de l’Esprit. » Il y a là un programme grandiose d’action sur le cosmo

37 ienne d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition concrète et non dans l’évasion mystique, se combine

38 es diverses facultés humaines développées dans la liberté et une certaine mesure d’harmonie : harmonie entre l’homme et la Natu

39 trainte, tandis que le préfixe « auto » évoque la liberté de l’individu, cette invention n’était certes pas la mieux adaptée à

40 paix, soit de la tyrannie des choses, soit de la liberté de notre action. Mais surtout, par ses progrès mêmes, par les moyens

41 eries sur les premières… Je dis que j’admirais la liberté de ton du représentant de l’Espagne à Paris. — Eh bien, fit-il, je tr

42 du xxe siècle » organisé par le Congrès pour la liberté de la culture, dont Salvador de Madariaga est l’un des présidents d’h

43 un de ses plus beaux discours, sur le thème de la liberté telle que la conçoit un véritable libéral. Le public français intelle

44 ion, pour la défense et pour l’illustration de la liberté , au prix incalculable de l’exil. Ainsi, tandis que tant d’autres, au

45 hui le rare et haut exemple d’un combattant de la liberté demeuré libéral avec rigueur. Démontrer qu’en plein xxe siècle on pe

46 qui tue l’esprit critique, déprime le goût de la liberté , étouffe le cri de la justice, plus sûrement que par ceux qui attaque

47 « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés — sera-t-elle fondée sur des réalités en plein essor, non sur des vie

48 s en moins croyable, et qui se borne en fait à la liberté (souvent illusoire) de choisir les dépendances les plus profitables.

49 « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés — sera-t-elle fondée sur des réalités en plein essor, non sur des vie

50 es limites doivent être tracées avec une certaine liberté de jugement.35 Ainsi : — là où, dans le monde stato-national, on pa

51 stratif. Préférons, dans le monde régional, cette liberté modeste mais bien réelle, aux ivresses de l’indépendance absolue mais

52 onyme et sans visage — dans le monde régional, la liberté de chacun et l’efficacité de son action seront garanties par la possi

53 l’inquisition administrative que d’accroître les libertés civiques. Elle ne serait à aucun titre un modèle neuf de relations hu

54 ce qu’opposent certains esprits à concevoir cette liberté (ou variété) d’appartenance démontre une déficience ou un retard d’éd

55 déraliste la tendance unitaire par opposition aux libertés d’un Québec autonome. Or le fédéralisme, pour moi, est tout autre cho

56 libre et responsable à la fois le fondement de la liberté personnelle et de l’action communautaire. Le mot fédéralisme est t

57 sance collective ou d’un homme, l’autre vise à la liberté et à la libération maximales des hommes, des personnes. Je suis contr

58 e d’Empire et longtemps défendit contre Berne ses libertés traditionnelles. Il illustre au départ torrentueux l’esprit des commu

59 ueux l’esprit des communes médiévales, source des libertés confédérales. Berne ensuite et le cours plus large et plein d’un fleu

60 ard le lieu le plus européen du continent. Et nos libertés en sont nées, comme en naissent les fleuves coulant vers quatre mers.

61 à réduire l’indépendance d’un État à une certaine liberté dans le choix de ses dépendances, à un certain jeu dans l’aménagement

62 perd. Il ne correspond plus ni aux conditions de liberté et de participation civique, apanage des petites communautés ou cités

63 t et de citoyen engagé dans la société. Pourvu de libertés , mais de responsabilités, solitaire et solidaire (selon le mot de Vic

64 es conditions contradictoires de la vie, comme la liberté des personnes et la force de la communauté ? L’analyse fédéraliste d’

65 is il fallait beaucoup de lucidité et beaucoup de liberté d’esprit pour distinguer, aux alentours de 1900, que les facteurs pri

66 espèce césarienne » va vous broyer, « vous et vos libertés nationales… Encore un peu de temps, et l’homme aura, grâce à la scien