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aucoup plus sérieuses, qui sont, par exemple, nos
libertés
, nos modes de vie… Et c’est à cause de cela que nous devons faire l’E
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pposer à cet idéal qu’un idéal démocratique et de
liberté
, et qu’ils l’illustrent fort mal en faisant la guerre du Vietnam. Voi
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vie ? Oui, je crois à la personne humaine et à sa
liberté
. Pour surmonter les aliénations actuelles, il faut poser un nouvel or
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de l’information, qui donnent l’impression d’une
liberté
fantastique. J’ai lu, l’autre jour, qu’il y avait à Paris, autour de
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inséparables : spirituel et temporel, autorité et
liberté
, personne et communauté, tradition et innovation, droite et gauche, n
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, cette union ne saurait être acquise au prix des
libertés
qu’elle est censée servir. h. « Qu’est‑ce que la culture européenn
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ommes porteurs de l’épée étaient seuls aptes à la
liberté
, parce que l’épée est le signe de la liberté pour les Germains. Ce qu
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à la liberté, parce que l’épée est le signe de la
liberté
pour les Germains. Ce qui fait que les hommes qui vont à la Landsgeme
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t la survivance de ce paysan, homme libre dont la
liberté
est démontrée parce qu’il a son épée à la main. Comme les nobles au M
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la France doit opposer un nouveau prestige de la
liberté
, c’est-à-dire de la personnalité humaine. L’homme est une personne, o
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’existe pas ailleurs. Mais c’est le prix de notre
liberté
. Mais vous, que souhaitez-vous ? Quand je pense à l’amour « programmé
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n, l’absorption, l’esclavage, non l’union de deux
libertés
. En politique, on appelle cela du totalitarisme. Depuis quand combatt
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lisation a de pluraliste ? C’est le gage de notre
liberté
. Cela implique la contestation, la discussion, et, finalement, la rév
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ez-vous à la révolution ? Oui, si elle apporte la
liberté
, si elle consiste à renverser, à retourner les institutions de la tyr
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s fixées par l’article 3, leurs constitutions, la
liberté
et les droits du peuple, ainsi que les droits et attributions que le
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ente, c’est-à-dire transnationale, et du degré de
liberté
qu’ils laissent aux industriels anarchistes, ceux qui exploitent et d
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deviennent autant de signes, l’aléatoire devient
liberté
de choisir qui ne se renonce que dans le choix du sens. Or ce sens to
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: à ce prix, l’imagination deviendra créatrice de
libertés
réelles. Loin de récuser l’esprit de géométrie et ses méthodes, l’esp
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e droit romain, Dracon, Solon, qui ont inventé la
liberté
en déclarant que c’est l’individu et non le clan qui est responsable
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ituelle, manque de distance, de détachement et de
liberté
, si on le compare à l’Hindou ou aux bouddhistes), et trop désincarné
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ogie au xixe siècle, l’Européen moyen abdique sa
liberté
devant « ceux qui savent » mais il croit mieux les savants d’aujourd’
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la cité grecque, de l’Ecclesia chrétienne, des «
libertés
» germaniques et celtiques) ; — enfin le sécularisme, qui libère des
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e sa personne même se définit dans cette marge de
liberté
— le programme hérité de ses ancêtres et de vingt-huit siècles de pen
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ective, la puissance des États ou voulons-nous la
liberté
des personnes ? Suivant le choix que chacun doit faire librement, tou
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ent, tout le reste change. Si nous choisissons la
liberté
, l’épanouissement des personnes, alors nous choisissons un certain ét
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rs devoirs envers ce grand ensemble générateur de
libertés
que constitue leur civilisation. Mais comment devenir citoyen d’un pa
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e sa raison d’être et les conditions mêmes de ses
libertés
des petites dimensions du pays, et surtout de ses communautés. Les so
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culin, l’Ordre et le Désordre, la Puissance et la
Liberté
, la Sécurité et le Risque, la Régularité et la Surprise, l’Orthodoxie
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our la première fois, il en a la possibilité — la
liberté
. Depuis les origines, l’homme n’avait pu que répondre aux durs défis
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as, l’information, loin de chercher à stimuler la
liberté
du jugement personnel, visera à la diriger, puis à la limiter, puis à
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de réflexif-critique, n’est pas une atteinte à la
liberté
de jugement mais une empreinte dont le jugement plus tard utilisera l
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s, réseaux de canaux et nervures. L’atteinte à la
liberté
commence avec la propagande politique et la publicité commerciale, l’
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ion : au très petit État correspond le maximum de
liberté
civique, mais « plus l’État s’agrandit, plus la liberté diminue », ta
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é civique, mais « plus l’État s’agrandit, plus la
liberté
diminue », tandis que « le gouvernement doit être plus fort à mesure
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raitement de la documentation. 4. Puissance ou
liberté
Le jeu complexe mais prévisible de ces implications successives, d
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n pas utopie à joindre un jour. Car il suppose la
liberté
, tandis que l’utopie prise pour programme est une fuite devant le rée
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ne fuite devant le réel, devant les risques de la
liberté
, donc devant la liberté elle-même. Un jeu parfait de notre modèle n’e
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devant les risques de la liberté, donc devant la
liberté
elle-même. Un jeu parfait de notre modèle n’est pas souhaitable, car
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n que cela serait en contradiction réelle avec la
liberté
, qui est le ressort du jeu en même temps que son but, puisqu’elle nou
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choix (plus ou moins ambigus) entre puissance ou
liberté
(c’est-à-dire sécurité collective ou risques personnels) comme fin de
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s, débats, assemblées ; 6. Objectifs communs ; 7.
Liberté
d’inadaptation. Reprenons ces sept points, dont nous avons indiqué le
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es majeurs de l’an 2000 ! — Options relatives aux
libertés
de la personne. L’identité et l’autonomie de la personne sont en butt
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spect pour les forêts, point de civisme. 7. La
liberté
d’inadaptation J’ai parlé de dysfonctions sociales et de discordan
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e sa raison d’être et les conditions mêmes de ses
libertés
des petites dimensions du pays, et surtout de ses communautés. Les so
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inoza : Éthique Finalité de l’Europe unie : la
liberté
, non la puissance Je pars de ce qui me paraît une évidence majeure
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l’Europe réelle — et c’est aussi condition de la
liberté
des personnes dans la communauté politique. Fédéralisme et Œcuméni
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humbles tâches, en Dieu plus grandes, et vers la
liberté
d’esprit. » Qu’avez-vous hérité de lui ? Le sens de l’engagement et c
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est pas d’affirmer sa puissance mais d’exercer sa
liberté
; n’est pas de se montrer plus fort que tel voisin par les armes ou p
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és accepteront de se fédérer. Pour défendre leurs
libertés
contre l’État. Juin 1973. 23. Tous les pays du monde ne peuvent pas
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nes telles que le respect de la personne et de sa
liberté
plutôt que de la puissance collective d’un État, la sauvegarde des éq