1
uissante, de la possibilité de l’échange et de la
liberté
d’expression, du débat et de l’invention. Il ne s’est pas agi là, com
2
, lutte pour la défense d’une certaine idée de la
liberté
: Denis de Rougemont. Personnaliste, également distant du communisme
3
-ce que c’est la puissance ou est-ce que c’est la
liberté
des personnes par exemple ? Ça, c’est la question politique fondament
4
st la puissance collective ou est-ce que c’est la
liberté
des personnes ? Ou l’égalité ? N’importe quoid. Enfin, les grandes op
5
prit de l’homme de sa vocation unique, donc de sa
liberté
, donc de sa responsabilité. Je rejoins encore aujourd’hui un livre qu
6
l’absorption, l’esclavage et non l’union de deux
libertés
, ne vous paraît-il pas être en politique l’équivalent du totalitarism
7
issance, c’est la prise de pouvoir sur autrui, la
liberté
, c’est la prise de pouvoir sur soi-même. 7. « L’Express va plus lo
8
ne fois, on nous parle de l’homme, du cœur, de la
liberté
, de nos responsabilités, de notre créativité, à tous autant que nous
9
n quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? », La
Liberté
, Fribourg, n° 120, 22 février 1978, p. 5.
10
celle de la puissance. J’oppose à la puissance la
liberté
des personnes, l’épanouissement de l’individu. Je crois que nous devo
11
e culture, de région et de classe, de limiter les
libertés
, de prendre des mesures d’exception qui sont rarement rapportées une
12
rs plus de croissance et de richesse, visons à la
liberté
, à une vie plus saine où l’on ne sera pas sans cesse pourchassé par l
13
l’Histoire, cela dépend de nous. Nous en avons la
liberté
, donc la responsabilité… J’ai confiance cependant. Ce n’est pas de l’
14
l’époque, constamment engagé sur les fronts où la
liberté
s’est trouvée menacée… Un veilleur qui depuis plus de quarante ans ne
15
e sujet. Nous voulions une évolution basée sur la
liberté
des personnes et non sur la puissance collective. Nous étions communa
16
dans un système policier qui finit par menacer la
liberté
. Vous venez de citer l’exemple d’une région frontalière qui rencontre
17
uvrir au monde la voie qu’il cherche, la voie des
libertés
organisées. Elle est de ranimer ses pouvoirs d’invention pour la défe
18
dignité de l’homme et sa vraie force est dans la
liberté
. Tel est l’enjeu final de notre lutte. C’est pour sauver nos libertés
19
enjeu final de notre lutte. C’est pour sauver nos
libertés
acquises, mais aussi pour en élargir le bénéfice à tous les hommes, q
20
ne Charte des droits de l’homme, garantissant les
libertés
de pensée, de réunion et d’expression, ainsi que le libre exercice d’
21
1957. Le troisième motif, celui de la défense des
libertés
et des droits de l’homme, seul fondement d’une union politique confor
22
s siècles que la prospérité, la paix sociale, les
libertés
civiques et la sécurité appellent un régime fédéral, autogéré et déce
23
à-dire des chances de la paix, et du maintien des
libertés
, donc du progrès des responsabilités civiques ? « L’Europe c’est fini
24
d’être et abdiquer, avec ses responsabilités, ses
libertés
? ⁂ Ici se pose la question fondamentale : quelle Europe ? Car il y e
25
La première Europe a créé et nourri les idées de
liberté
et de responsabilité dans la Communauté, de foi jurée et de pacte féd
26
emont appelle à la responsabilité qui engendre la
liberté
. Au mot de Jean-Paul Sartre : « L’enfer c’est les autres », il répliq
27
l’Europe. Il a réussi à nous convaincre que notre
liberté
personnelle se confondait avec la nation. Le système, hérité de Napol
28
oyen pour l’homme d’aujourd’hui de reconquérir sa
liberté
, j’entends le pouvoir de se faire entendre, c’est la recréation de pe
29
ci de répartir les responsabilités comme gages de
liberté
de la personne, et la volonté, je cite : « d’harmoniser la politique
30
et sociales, fédératives et communautaires, ou «
libertés
». L’apport celte est sensible d’une part dans l’évangélisation de pl
31
lle libère en l’homme des énergies, un sens de la
liberté
et de l’aventure, une inquiétude fondamentale, que les religions trib
32
la masse, il tend à former des communautés où sa
liberté
et sa responsabilité puissent être réelles. Le christianisme s’est d’
33
possibilité de s’épanouir dans ses dimensions de
liberté
et de responsabilité — à la fois solitaire et solidaire — et peut don
34
t. Mais si la fin suprême de toute société est la
liberté
des personnes, non la puissance d’une collectivité, il devient clair
35
tant que citoyen d’une Confédération garante des
libertés
, donc des autonomies. Mais cette victoire, si typiquement fédéraliste
36
c ses 26 États souverains, où l’on parle en toute
liberté
quatre langues et d’innombrables dialectes. Voir aussi l’actuel proje
37
Cet amour qui nous rendrait la
liberté
(mars 1979)aj « Tout change, sauf le cœur humain ! », disent les v
38
cipe actif de toute libération humaine. Il est la
liberté
même. (Et quand à ceux qui croient que c’est la haine qui libère, ils
39
problème sexuel, c’est une tout autre affaire. La
liberté
dans la sexualité, nous en jouissons et en souffrons plus que toute a
40
précisément l’existence — et non l’absence de la
liberté
sexuelle parmi nous qui pose un problème sérieux. ⁂ La réaction nommé
41
e induire une éthique de l’amour qui signifierait
liberté
: prise de pouvoir sur soi, non sur autrui. 26. Depuis que j’ai pub
42
che [Ndlr]. aj. « Cet amour qui nous rendrait la
liberté
», Le Sauvage, Paris, n° 63, mars 1979, p. 8-9.
43
e ne réussira contre votre décision, contre votre
liberté
, contre votre souveraineté. Regardez-les faire sans inquiétude, toujo
44
e ne réussira contre votre décision, contre votre
liberté
, contre votre souveraineté. Regardez-les faire sans inquiétude, toujo
45
ême, de la révision des manuels d’histoire, de la
liberté
d’information, de la libre circulation des idées, des personnes et de
46
dividualisme et collectivisme, droits et devoirs,
liberté
et justice… Dans ce débat auquel chacun de nous participe plus ou moi
47
un de nous. Elle est l’histoire des risques de la
liberté
, progressant entre les écueils du désordre et de la tyrannie. Mais i
48
modernes : E = mc2 que nous prendrons l’extrême
liberté
de lire ainsi : Europe (E) égale masse médiocre (m) multipliée par cu
49
ité) ou par un désir de se réaliser, d’assumer sa
liberté
? À l’échelle de la société européenne, ces deux motivations fondamen
50
nité de culture dont la finalité dernière soit la
liberté
des personnes dans la communauté des responsables. Ces principes para
51
onales » ; — que dans la tradition européenne, la
liberté
consistant dans l’exercice des droits fondamentaux que possède tout h
52
sant à son libre développement, c’est-à-dire à la
liberté
d’expression des créateurs et porteurs de la culture ou en leur accor
53
l’élève à sa prise d’initiative personnelle, à sa
liberté
assumée de personne et de citoyen responsable, à la fois autonome et
54
ions de succès s’annoncerait incompatible avec la
liberté
de la personne ; b) refuser toute innovation qui entraînerait nécessa
55
session de la puissance rend aux conditions de la
liberté
. Mais la décentralisation décrétée par le Centre est un leurre. Elle
56
et morale. Il a pour fin, tout au contraire, la
liberté
des personnes et la réalisation de leurs vocations singulières. De là
57
clan, de la classe, ou de la nation. Elle veut la
liberté
de chacun dans la recherche d’un soi sans précédent, et non pas la co
58
cette fin dernière de l’État séculier, qui est la
liberté
des personnes. 23. Une chance sur 250 milliards que les mêmes pare
59
rès la guerre, car l’engagement de l’écrivain, sa
liberté
liée à sa responsabilité, furent des thèmes à la mode des 1946, me se
60
entre deux grandes finalités : la puissance et la
liberté
. J’entends d’une part : la puissance collective, mythique, nationale,
61
on pas comme une obligation de régner. Quant à la
liberté
, conçue comme la formule du libre développement non pas des collectiv
62
t dans sa partie occidentale), la puissance ou la
liberté
, le collectif ou le personnel, alors nous sommes amenés à choisir ent
63
conditionnement. Si nous décidons en faveur de la
liberté
des personnes, et non des mythes nationaux ou de la volonté de puissa
64
il vrai qu’un surcroît d’énergie permette plus de
liberté
, de loisir, d’autodétermination ? On nous raconte que nous disposons,
65
vous rappelle quelque chose ? Si nous voulons la
liberté
, si nous voulons vraiment sortir du cercle vicieux que j’ai dit, alor
66
omouvoir l’énergie du soleil. Voici pourquoi. La
liberté
et l’autonomie correspondent à la décentralisation la plus poussée, c
67
ient porter cette inscription : « Ici cessent les
libertés
démocratiques et le droit des personnes à disposer d’elles-mêmes. » T
68
eur en politique aussi, et dans l’amour, quêta la
liberté
, celle de l’aimée non moins que la sienne — en vain d’ailleurs. En fi
69
des vertus viriles et la dictature au nom de la «
liberté
» d’une nation, selon les doctrines de la révolution. En publiant cet
70
ette russe. Joueur encore ! IV. Tragédie de la
liberté
et tragi-comédie du libéralisme Pendant tout le mois de février, B
71
Arrivée à Paris… Il y a de la ressource pour la
liberté
. Il n’y en a plus pour notre homme [le Béarnais]. Mon ouvrage fera bo
72
rs et note : Y aurait-il vraiment des chances de
liberté
? Et le 14 avril, au matin, l’impossible se réalise : au lieu d’être
73
eu peu de succès. Ce n’est pas précisément de la
liberté
qu’on veut. 18 avril. Entrevue de 2 heures. Ma constitution corrigée
74
voulut point se donner le mérite de revenir à la
liberté
par inclination. Il examina froidement, dans son intérêt, avec une im
75
mais en récompense, je le crois, elle exigera la
liberté
. Elle en aura. Ni l’empereur ni Constant n’ont changé. Nul n’est dup
76
L’un veut régner et s’il y faut absolument de la
liberté
, accordons-en. L’autre veut être libre, et si cela n’est possible, po
77
fidèle à sa passion maîtresse, la puissance ou la
liberté
. « La nation exigera la liberté ? Elle en aura. » Voilà qui est cyniq
78
a puissance ou la liberté. « La nation exigera la
liberté
? Elle en aura. » Voilà qui est cynique à souhait. Mais Constant l’es
79
probable. C’est dans l’espoir de sauver un peu de
liberté
réelle qu’il s’expose aux vertueuses indignations des politiciens de
80
’ont servi avec enthousiasme quand il écrasait la
liberté
, ils l’abandonnent quand il l’établit. Dès le lendemain du départ de
81
ez pour lui qu’elle apparaisse compatible avec la
liberté
. 2°. Aurait-il dû se faire harakiri, lui seul, quand le roi a quitté
82
de « Vive l’empereur ! » mais aussi de « Vive la
liberté
! ». Il sait qu’il doit compter avec les libéraux. Lorsqu’il apprend
83
e. Quelque incertaine que soit une chance pour la
liberté
d’un peuple, il n’est pas permis de la repousser. 4°. Et enfin, et s
84
la pure et simple mauvaise foi des ennemis de la
liberté
. Benjamin n’a servi que la liberté. La sienne très mal, esclave qu’il
85
ennemis de la liberté. Benjamin n’a servi que la
liberté
. La sienne très mal, esclave qu’il fut de ses amours ; mais la libert
86
ès mal, esclave qu’il fut de ses amours ; mais la
liberté
politique mieux que personne de son temps. D’où le malentendu profond
87
d entre lui et la classe politique. Il a servi la
liberté
, dans un pays et un siècle où l’on servait de préférence une faction,
88
ubtil des variations de Benjamin au service de la
Liberté
, son thème constant, ne lui aient valu que le blâme très moral des pa
89
il réussit à s’imposer. VI. Un manifeste de la
liberté
Mais revenons au petit livre sur lequel Benjamin a joué sa tête et
90
et accessoirement sa carrière. Ce manifeste de la
liberté
, déposé sur le seuil de notre ère, est resté sans effets sur les dest
91
tionnel — dont Thiers a pu écrire que « jamais la
liberté
, toute celle qui est raisonnablement désirable, n’avait été plus comp
92
l’opprime. Elle rend, même après sa chute, toute
liberté
, toute amélioration impossible… Et l’on comprend soudain le sens actu
93
ses merveilleuses diversités et sa passion de la
liberté
, se poursuit jusqu’au xixe siècle romantique des Novalis d’abord (Di
94
ées, que de renoncer, comme les individus, à leur
liberté
sauvage (anarchique), pour s’accommoder de la contrainte publique des
95
e des congrès ; — tout au moins dans le monde des
libertés
« formelles », où les majorités ne dépassent pas 100 %. Mais l’effet
96
cients que seul restera libre celui qui use de sa
liberté
», ne me paraît pas évidente à première lecture, et surtout — mais j’
97
transcendance, non sur la terre en négation de la
liberté
donnée à l’homme par Celui qui l’a fait. Comment veut-on que les gens
98
ne certaine dignité de vie, un certain sens de la
liberté
, de la critique, de l’opposition, enfin tout ce qui est supprimé ou n
99
la conscience de leurs raisons d’être, sur leurs
libertés
concrètes. Tout le reste me paraît dangereusement démodé. Cela fait r
100
é, ce n’est pas la puissance collective, c’est la
liberté
. Et quel meilleur emploi pourrais-je en faire que de me battre pour l
101
s-je en faire que de me battre pour la volonté de
liberté
des personnes, contre la volonté de puissance des États ? 67. Lew
102
e besoin de sécurité à tout prix, s’il atteint la
liberté
spirituelle, il réalise ce qu’il doit faire sur terre. Mais on ne peu
103
: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » La
liberté
correspond à une responsabilité, si elle est réelle. L’homme converti
104
es. Vous savez, en général, les gens redoutent la
liberté
. Ils en ont plus peur qu’envie, car liberté cela signifie aussi respo
105
nt la liberté. Ils en ont plus peur qu’envie, car
liberté
cela signifie aussi responsabilité. Il faut que chacun prenne ses res
106
e est plus modeste : « En quoi favorise-t-elle la
liberté
et la responsabilité — inséparables — de la personne ? » 2. Et d’
107
té, fût-elle de paix, de bonheur, d’équilibre, de
liberté
et de responsabilité accrues de la personne. 3. Ambivalence de la
108
ces créatrices du globe. » D. Stern, Essai sur la
liberté
. (L’auteur de cette phrase superbe, D. Stern, est le pseudonyme de la
109
es religions assignent à l’humanité : la paix, la
liberté
, l’amour. Informer au sens d’aujourd’hui (des médias) n’est pas forme
110
pas encore amour. (Cet « amour qui nous rendra la
liberté
», comme le dit une chanson populaire et sublime.) b. Quand quelqu’un
111
ice des fins dernières de la personne, donc de sa
liberté
d’obéir à sa vocation particulière. f. Il faudra se garder de céder à
112
e succès s’annoncerait comme incompatible avec la
liberté
de la personne. 3. L’idée de créer de très grandes unités de product
113
du deuxième, comme la responsabilité l’est de la
liberté
: refuser toute innovation qui entraînerait nécessairement, ou favori
114
est-à-dire éviter ce qui est incompatible avec la
liberté
(juridique) des personnes, et éviter ce qui conduit au gigantisme (qu
115
n’est que celle-ci : « En quoi favorise-t-elle la
liberté
et la responsabilité — inséparables — de la personne ? » 2. Et d’a
116
té, fût-elle de paix, de bonheur, d’équilibre, de
liberté
et de responsabilité accrues de la personne. De là notre problème et
117
es religions assignent à l’humanité : la paix, la
liberté
, l’amour. Informer au sens d’aujourd’hui (des médias) n’est pas forme
118
pas encore Amour (cet « amour qui nous rendra la
liberté
», comme le dit une chanson populaire et sublime) ; b) quand quelqu’u
119
ice des fins dernières de la personne, donc de sa
liberté
d’obéir à sa vocation particulière : f) il faut se garder de céder à
120
e succès s’annoncerait comme incompatible avec la
liberté
de la personne. Or, l’idée de créer de très grandes unités de product
121
nt du second, comme la responsabilité l’est de la
liberté
: refuser toute innovation qui entraînerait nécessairement ou favoris
122
t-à-dire : éviter ce qui est incompatible avec la
liberté
(juridique) des personnes et éviter ce qui conduit au gigantisme (quo
123
n, 1980, vol. I-III. 73. D. Stern : Essai sur la
liberté
. D. Stern est le pseudonyme de la comtesse d’Agoult, belle-mère de Ri
124
e centrale qui fonde la communion humaine dans la
liberté
. Je l’appelle personnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’indi
125
-on de nos jours. Et l’esprit périclite, faute de
liberté
. La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang.
126
insi définie se résout l’éternel conflit entre la
liberté
individuelle et les devoirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le mê
127
et en relations concrètes avec ses semblables. La
liberté
est assurée par la possibilité constante de recourir directement à l’
128
blige à respecter les vocations individuelles. La
liberté
du siècle présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance.
129
du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la
liberté
et l’engagement de la personne chrétienne se définissent du même coup
130
fois l’union et la diversité, l’engagement et la
liberté
, les droits du tout et les droits des parties. De même que la théolog
131
ipe vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la
liberté
, mais là aussi est la vraie communion. Il nous reste à développer mai
132
d’être un homme intégral dès qu’il absolutise sa
liberté
. Le fédéralisme part des groupes locaux (commune, entreprise, région)
133
ue l’essor du machinisme « au lieu de créer de la
liberté
, crée du chômage » ; quand je demandais en 1956 ce que vont faire les
134
de la responsabilité, la conscience de cette rare
liberté
, de ce pouvoir sur soi-même… », phrase citée dans le n° 5 de L’ON e
135
ont passées », comme dit saint Paul, mais dans la
liberté
des personnes responsables. De là sans doute la qualité singulière de
136
irent immédiatement exclus. Nous voulions tous la
liberté
de la personne, c’est-à-dire qu’elle fût responsable ; et nous tirion
137
ilemme fondamental des sociétés industrielles : «
Liberté
ou chômage ? » Le monde occidental en est au point où il ne peut plus