1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 nt certaines tirades sur le fameux principe de la liberté de conscience. Cela prenait « dans cette enceinte » un petit air anar
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
2 saisit-elle, d’une manière imprévisible. La seule liberté qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comme
3 e morale est délibérément supprimée toute idée de liberté , toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
4 sité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté du risque, — perdre sa vie. Cette opposition est tellement radicale,
5 onc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté , au loisir plein. Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, e
6 eront jamais à la liberté, au loisir plein. Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introduira jamais dans
7 néglige la création, un travail sans loisir, sans liberté , laisse s’étendre l’empire de la nécessité. On aura beau l’intensifie
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
8 — je dis : de l’homme rendu à la conscience de sa liberté . Toute création suppose une liberté, ou plus exactement, créer, c’est
9 science de sa liberté. Toute création suppose une liberté , ou plus exactement, créer, c’est être libre. Un art nouveau, c’est u
10 réer, c’est être libre. Un art nouveau, c’est une liberté nouvelle. Mais c’est aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de
11 t aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de liberté concrète que dans l’exercice fidèle de ma vocation personnelle. Liber
12 ans l’exercice fidèle de ma vocation personnelle. Liberté devient synonyme d’obéissance inconditionnée à mon unique raison d’êt
13 s sommes ici très loin de la notion bourgeoise de liberté , qui est absence d’obligations, de repères, de coordonnées. Très loin
14 ès loin aussi de l’anarchie. Car l’exercice de la liberté personnelle entraîne des engagements humains ; rapidement il se concr
5 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
15 eur : il a compris le fait — sinon l’acte — de la liberté . Il a su reconnaître que l’homme est un sujet (au sens initiateur, et
16 heur du spiritualisme fut de se replier sur cette liberté pour la chérir dans sa précieuse intégrité. Orgueilleux de sa force,
17  esprit » demeuré incapable de témoigner de notre liberté . Dans le plan d’ombre et d’abstractions, parfois violentes, où se pou
18 dans l’échelle de nos valeurs, notre capacité de liberté à l’exercice concret de cette liberté. C’est une usurpation de l’éter
19 capacité de liberté à l’exercice concret de cette liberté . C’est une usurpation de l’éternel par la conscience contingente, par
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
20 ent à merveille tirer parti contre l’esprit de la liberté qu’il leur laisse. Ils le vénèrent officiellement, déléguant le soin
21 lui vois bien des agréments, s’il est vrai que la liberté de penser et d’écrire à sa guise, la pauvreté, le risque matériel, le
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
22 ar des choses (s’agît-il du profond mystère de la liberté des humains en présence de « l’absurdité » du Tout-Puissant). Entre d
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
23 e critiquer la dictature que lorsqu’il assure une liberté réelle et plus féconde que la contrainte. Les surréalistes sont fondé
24 de la personne, de l’aventure personnelle, de la liberté et du risque personnels. 3. La constatation de cet échec s’impose non
25 s gardons l’avantage important d’une tradition de liberté . Et vos premières expériences nous enseignent. Toute la question est
26 r à l’Europe, c’est de lui opposer le génie de la liberté . Saint-Just. L’on pourrait sans difficulté multiplier les grands ex
27 ourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette liberté dont elles se vantent. Elles s’en vantent d’ailleurs de moins en moin
28 e, il n’est question que du « désarroi général ». Liberté d’opinion, c’est pratiquement liberté de se plaindre, mais de se plai
29 général ». Liberté d’opinion, c’est pratiquement liberté de se plaindre, mais de se plaindre sans passion profonde. La misère
30 ations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de liberté , mais du travail. Elles s’en plaignent d’ailleurs de moins en moins.
31 ers cette grandeur, au mépris de la faim ou de la liberté  ; il a suffi qu’on lui propose, souvent sans preuve, un grand mythe d
32 mais un outil ; que l’individu n’est rien que la liberté du désespoir et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépas
9 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
33 cès de l’URSS auprès des intellectuels français. Liberté en URSS ? « Je doute qu’en aucun autre pays aujourd’hui, fût-ce dans
10 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
34 e moins en moins, en France, où rien n’entrave la liberté d’éditer et de vendre tout ce que l’on imagine. Ce n’est pas le « fas
35 rançais réserve, présentement, sous son régime de liberté , à la lecture de Paris-Soir et Paris-Sports, quand ce n’est pas Paris
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
36 ire. Ils appellent le retour à l’art sain dans la liberté . — Il est temps de donner le pas à l’esprit sur les forces de la mati
37 , par suite rejet du capitalisme et du fascisme ; liberté nécessaire de la culture ; enfin, subordination du machinisme, perfec
38 ’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la liberté et du pain des hommes. » Autant dire qu’il ne fait plus confiance à M
39 la page 13 : « La paix ne se conçoit pas dans la liberté . » (Phrase qui aurait pu faire croire que l’URSS est pacifiste). Mais
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
40 ssée, — respectaient les principes éternels, — la liberté individuelle, — l’intellectualisme, — la pensée solitaire, — et le bo
13 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
41 « personnes » qui savent que l’exercice de leurs libertés implique des engagements concrets. ak. « Brève introduction à quelq
14 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
42 rde du Saint-Gothard : mais c’est pour assurer la liberté de passage, et non pas pour barrer le col sous prétexte de nous mettr
15 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
43 — la plus « naturelle » pensera-t-on… Illusion de liberté . Et illusion de plénitude. Je nommerais libre un homme qui se possède
44 nore l’origine autant que la fin. Son illusion de liberté repose sur cette double ignorance. Le passionné, c’est l’homme qui ve
45 mari ressemble à Gable ou à Taylor !) Ainsi la «  liberté  » de la passion relève des statistiques publicitaires. L’homme qui cr
16 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
46 ais par crainte, pour assurer le « salut » de nos libertés … Ils ont écrit et dit tout cela, avant les autres, dans Esprit et d
17 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
47 un sonnet ? Des contraintes rhétoriques et de la liberté , disons de l’imagination. De même, pour composer un « fait » d’histoi
18 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
48 e où la démocratie devient possible… To sum up : Liberté , Prospérité et Poursuite du Bonheur, ce sont là mes trois idéaux. Et
49 complexités organiques qui peut seul ménager des libertés réelles. Le sens de l’échec, de sa nécessité métaphysique et de sa v
50 de faire. Cette attitude détient le secret de la liberté . Car il n’est de liberté réelle qu’en avant, dans tous les ordres, à
51 détient le secret de la liberté. Car il n’est de liberté réelle qu’en avant, dans tous les ordres, à chaque instant, — si l’on
19 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
52 la contrainte et d’une droite qui revendique les libertés  : le but, l’essence de la pensée fédéraliste étant précisément de tro