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lâche les ouvriers et leur donne une apparence de
liberté
, c’est pour mieux les prendre dans son engrenage. L’emploi de leurs l
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ricaine. Voici, par exemple, une définition de la
liberté
: La liberté consiste à travailler pendant le temps convenable et à
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, par exemple, une définition de la liberté : La
liberté
consiste à travailler pendant le temps convenable et à gagner, par ce
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gler à sa guise le détail de sa vie privée. Cette
liberté
particulière, et cent autres pareilles, composent, au total, la grand
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autres pareilles, composent, au total, la grande
Liberté
idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne.
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le dans les rouages de la vie quotidienne. Cette
Liberté
idéale réduite au rôle d’huile dans les rouages, n’est-ce pas charman
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lui a fait oublier jusqu’à l’existence, et à une
liberté
qu’il s’empresse d’aliéner au profit de plaisirs tarifés, soumis plus
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iment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la
liberté
et une certaine durée normale et capricieuse dans le plaisir, la cons
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a prétendu maîtriser la matière et parvenir à une
liberté
plus haute. Or, la technique a révélé des exigences telles que l’Espr
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t lui seul qui nous permettrait de jouir de notre
liberté
. La victoire mécanicienne est une victoire à la Pyrrhus. Elle nous do
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st une victoire à la Pyrrhus. Elle nous donne une
liberté
dont nous ne sommes plus dignes. Nous perdons, en l’acquérant, par l’
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mortelles assiègent notre condition humaine : la
liberté
de l’esprit et les lois de la matière. Pris entre une anarchie et une
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ourquoi tant et toujours plus de mal à prouver la
liberté
humaine ? C’est que l’on s’est trop bien assimilé les tours de la pen
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ale d’une pensée qui par ailleurs participe de la
liberté
: j’entends la pensée mystique. L’expérience mystique a la même exten
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emprisonnements au Tonkin. Et non Bouddha13. — La
liberté
est un pouvoir réel et une volonté réelle de vouloir être soi. Ayant
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ons, — et des hommes qui viendront y trouver leur
liberté
. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une révolte égarée
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n images d’un Dieu vertueux, ou en remparts de la
liberté
. La montagne n’est ni bienveillante ni maternelle ; elle poursuit une
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ble : que le bonheur de l’homme n’est pas dans la
liberté
, mais dans l’acceptation d’un devoir. Gide aurait-il pressenti que l
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sintéressée », et qu’il faut s’affranchir d’une «
liberté
» stérilisante. Ils ne voient pas à quel prix cet affranchissement de
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ous enseignent que la loi seule nous conduit à la
liberté
. Adhérez au déterminisme de l’histoire, abandonnez votre cher petit m
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tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la
liberté
et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j
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, organisez le monde par la contrainte ou dans la
liberté
, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrou
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la phénoménologie a ouvert la voie à une nouvelle
liberté
de la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’ont suivie, en France. Sachons
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e entièrement légitime qu’elle puisse faire de sa
liberté
consiste précisément à reconnaître qu’elle ne s’appartient pas ; c’es
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us répète : « La subjectivité est la vérité. » La
liberté
, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le sujet de sa vie. Mai
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critique, de certitudes théologiques, et de cette
liberté
spirituelle que confère la connaissance vivante de « la seule chose n
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oit. » Il faut perdre la croyance en Dieu, en la
liberté
et en l’immortalité, comme ses premières dents ; ce n’est qu’ensuite
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heur, etc., l’idée de la toute-puissance et de la
liberté
de Dieu devient insupportable. C’est le « Dieu moral » qui empêche, e
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Luther et la
liberté
(À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)w Luther inconn
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ence moderne. — Selon Luther, nous n’avons aucune
liberté
, car en réalité, Dieu a tout prévu, et rien n’arrive que selon sa pré
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firmer dans mon autonomie par un acte qui crée ma
liberté
, par un acte de révolte, s’il le faut ! L. — Tu crois donc détenir u
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t prévu que nous avons en lui, et en lui seul, la
liberté
. Mais cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de
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ur nous sauver, fait voir que nous n’avons aucune
liberté
, par nous-mêmes, dans notre péché. Et, à l’inverse, il faut oser desc
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la connaissance du péché pour voir qu’il n’y a de
liberté
possible que dans la grâce que Dieu nous fait. Toute l’argumentation
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. Et comme ce Retour éternel paraît exclure toute
liberté
humaine, il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et jo
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nft des Gleichen. Berlin 1935. w. « Luther et la
liberté
(À propos du Traité du serf arbitre) », Foi et Vie, Paris, n° 2, mars
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e centrale qui fonde la communion humaine dans la
liberté
. Je l’appelle le personnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’i
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-on de nos jours. Et l’esprit périclite, faute de
liberté
. La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang.
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insi définie se résout l’éternel conflit entre la
liberté
individuelle et les devoirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le mê
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et en relations concrètes avec ses semblables. La
liberté
est assurée par la possibilité constante de recourir directement à l’
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blige à respecter les vocations individuelles. La
liberté
du siècle présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance.
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du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la
liberté
et l’engagement de la personne chrétienne se définissent du même coup
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fois l’union et la diversité, l’engagement et la
liberté
, les droits du tout et les droits des parties. De même que la théolog
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ipe vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la
liberté
, mais là aussi est la vraie communion. Il nous reste à développer mai
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d’être un homme intégral dès qu’il absolutise sa
liberté
.) Le fédéralisme part des groupes locaux (région, commune, entreprise
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e ». Ils attendent un régime qui puisse allier la
liberté
à la communauté. Dans le fédéralisme, démocrates et totalitaires de d
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quant à ses options de base : la puissance ou la
liberté
. Faire des régions et recréer ainsi des possibilités de communauté où
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des possibilités de communauté où la personne ait
liberté
de découvrir et d’exercer sa vocation ; du même coup, prévenir la gue
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ien de moins que se tourner vers des finalités de
liberté
, rien de moins que renoncer à la puissance sur autrui. Et c’est litté
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ant Jésus. Toute la Bible exalte en revanche « la
liberté
des enfants de Dieu ». Si l’on exclut de la « sphère du religieux » l
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mbe de l’ordinateur bien programmé ? Puissance ou
Liberté
, qui tranchera ? Entre le besoin de sécurité à tout prix et la soif d
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e le besoin de sécurité à tout prix et la soif de
liberté
à tous risques, le choix de l’espèce sera fonction de la chose la moi