1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 lâche les ouvriers et leur donne une apparence de liberté , c’est pour mieux les prendre dans son engrenage. L’emploi de leurs l
2 ricaine. Voici, par exemple, une définition de la liberté  : La liberté consiste à travailler pendant le temps convenable et à
3 , par exemple, une définition de la liberté : La liberté consiste à travailler pendant le temps convenable et à gagner, par ce
4 gler à sa guise le détail de sa vie privée. Cette liberté particulière, et cent autres pareilles, composent, au total, la grand
5 autres pareilles, composent, au total, la grande Liberté idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne.
6 le dans les rouages de la vie quotidienne. Cette Liberté idéale réduite au rôle d’huile dans les rouages, n’est-ce pas charman
7 lui a fait oublier jusqu’à l’existence, et à une liberté qu’il s’empresse d’aliéner au profit de plaisirs tarifés, soumis plus
8 iment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la liberté et une certaine durée normale et capricieuse dans le plaisir, la cons
9 a prétendu maîtriser la matière et parvenir à une liberté plus haute. Or, la technique a révélé des exigences telles que l’Espr
10 t lui seul qui nous permettrait de jouir de notre liberté . La victoire mécanicienne est une victoire à la Pyrrhus. Elle nous do
11 st une victoire à la Pyrrhus. Elle nous donne une liberté dont nous ne sommes plus dignes. Nous perdons, en l’acquérant, par l’
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
12 mortelles assiègent notre condition humaine : la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entre une anarchie et une
13 ourquoi tant et toujours plus de mal à prouver la liberté humaine ? C’est que l’on s’est trop bien assimilé les tours de la pen
14 ale d’une pensée qui par ailleurs participe de la liberté  : j’entends la pensée mystique. L’expérience mystique a la même exten
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
15 emprisonnements au Tonkin. Et non Bouddha13. — La liberté est un pouvoir réel et une volonté réelle de vouloir être soi. Ayant
16 ons, — et des hommes qui viendront y trouver leur liberté . Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une révolte égarée
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
17 n images d’un Dieu vertueux, ou en remparts de la liberté . La montagne n’est ni bienveillante ni maternelle ; elle poursuit une
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
18 ble : que le bonheur de l’homme n’est pas dans la liberté , mais dans l’acceptation d’un devoir. Gide aurait-il pressenti que l
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
19 sintéressée », et qu’il faut s’affranchir d’une «  liberté  » stérilisante. Ils ne voient pas à quel prix cet affranchissement de
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
20 ous enseignent que la loi seule nous conduit à la liberté . Adhérez au déterminisme de l’histoire, abandonnez votre cher petit m
21 tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la liberté et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j
22 , organisez le monde par la contrainte ou dans la liberté , vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrou
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
23 la phénoménologie a ouvert la voie à une nouvelle liberté de la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’ont suivie, en France. Sachons
24 e entièrement légitime qu’elle puisse faire de sa liberté consiste précisément à reconnaître qu’elle ne s’appartient pas ; c’es
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
25 us répète : « La subjectivité est la vérité. » La liberté , la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le sujet de sa vie. Mai
10 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
26 critique, de certitudes théologiques, et de cette liberté spirituelle que confère la connaissance vivante de « la seule chose n
27 oit. » Il faut perdre la croyance en Dieu, en la liberté et en l’immortalité, comme ses premières dents ; ce n’est qu’ensuite
28 heur, etc., l’idée de la toute-puissance et de la liberté de Dieu devient insupportable. C’est le « Dieu moral » qui empêche, e
11 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
29 Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)w Luther inconn
30 ence moderne. — Selon Luther, nous n’avons aucune liberté , car en réalité, Dieu a tout prévu, et rien n’arrive que selon sa pré
31 firmer dans mon autonomie par un acte qui crée ma liberté , par un acte de révolte, s’il le faut ! L. — Tu crois donc détenir u
32 t prévu que nous avons en lui, et en lui seul, la liberté . Mais cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de
33 ur nous sauver, fait voir que nous n’avons aucune liberté , par nous-mêmes, dans notre péché. Et, à l’inverse, il faut oser desc
34 la connaissance du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce que Dieu nous fait. Toute l’argumentation
35 . Et comme ce Retour éternel paraît exclure toute liberté humaine, il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et jo
36 nft des Gleichen. Berlin 1935. w. « Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) », Foi et Vie, Paris, n° 2, mars
12 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
37 e centrale qui fonde la communion humaine dans la liberté . Je l’appelle le personnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’i
38 -on de nos jours. Et l’esprit périclite, faute de liberté . La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang.
39 insi définie se résout l’éternel conflit entre la liberté individuelle et les devoirs vis-à-vis de la collectivité. C’est le mê
40 et en relations concrètes avec ses semblables. La liberté est assurée par la possibilité constante de recourir directement à l’
41 blige à respecter les vocations individuelles. La liberté du siècle présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance.
42 du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la liberté et l’engagement de la personne chrétienne se définissent du même coup
43 fois l’union et la diversité, l’engagement et la liberté , les droits du tout et les droits des parties. De même que la théolog
44 ipe vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la liberté , mais là aussi est la vraie communion. Il nous reste à développer mai
45 d’être un homme intégral dès qu’il absolutise sa liberté .) Le fédéralisme part des groupes locaux (région, commune, entreprise
46 e ». Ils attendent un régime qui puisse allier la liberté à la communauté. Dans le fédéralisme, démocrates et totalitaires de d
13 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
47 quant à ses options de base : la puissance ou la liberté . Faire des régions et recréer ainsi des possibilités de communauté où
48 des possibilités de communauté où la personne ait liberté de découvrir et d’exercer sa vocation ; du même coup, prévenir la gue
49 ien de moins que se tourner vers des finalités de liberté , rien de moins que renoncer à la puissance sur autrui. Et c’est litté
50 ant Jésus. Toute la Bible exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu ». Si l’on exclut de la « sphère du religieux » l
51 mbe de l’ordinateur bien programmé ? Puissance ou Liberté , qui tranchera ? Entre le besoin de sécurité à tout prix et la soif d
52 e le besoin de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risques, le choix de l’espèce sera fonction de la chose la moi