1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
1 niste, le matérialisme, mais aussi les valeurs de liberté et de responsabilité, de justice sociale et de solidarité universelle
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 horique nostalgie : j’ai retrouvé mon Amérique. Liberté Invité par la Fondation Ford pour me promener dans les États-Unis
3 le de Bal, D. de R., président du Congrès pour la liberté de la culture, et auteur de L’Amour et l’Occident donnera une confé
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
4 oralité : l’homme tourne à l’automate, il perd sa liberté , son épaisseur de vie, il ressemble à ces montres extraplates… Justem
4 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
5 mmun, librement. Au sein des colloques, règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle. Deux meneurs de je
5 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
6 ’ai d’ailleurs toujours, dans ma conception de la liberté , défendu la théorie de la pluralité des allégeances, de même que le d
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
7 iversité subordonnée à la société, donc privée de liberté dans la critique et de gratuité dans l’imagination, cesserait du même
7 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
8 e des Fleurs de Tarbes où je retrouve l’étonnante liberté de jugement, mais les scrupules, la fraîcheur de l’attaque mais la pr
8 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
9 le couple d’antinomies inséparables : autorité et liberté , individualisme et collectivisme, tradition et innovation, droite et
9 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
10 , cette union ne saurait être acquise au prix des libertés qu’elle est censée servir. Rien de plus limpide que la déduction qui
11 us prêts à payer pour cela ? Le prix de certaines libertés , ou le prix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujo
12 union aura pour but la puissance collective ou la liberté des personnes. Il nous faut le décider, en toute conscience, et vite,
13 ous donnons pour finalité à la Cité européenne la liberté , c’est-à-dire les plus grandes possibilités d’épanouissement des pers
14 tion industrielle n’étant qu’un des moyens de ces libertés ), alors il faut reconnaître que l’État-nation n’est pas seulement un
15 t incompatible avec les fins de l’Europe et de la liberté . Il faut adopter sans délai les méthodes les plus propres à réduire l
16 appliquer la méthode du fédéralisme. Puissance ou liberté  : ces deux finalités commandent deux politiques d’union, dont je crai
17 té politique ; le reste — la justice, la paix, la liberté — étant manières de parler plus ou moins nobles, ou pure et simple ca
18 à Rousseau et de William Penn à Proudhon, que les libertés personnelles et les communautés autonomes valent mieux que la puissan
19 ion / fédération, ramenée au dilemme puissance ou liberté comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers
20 tiques. Donner comme but de la Cité européenne la liberté non la puissance, un mode de vie qualitatif, non pas un « niveau de v
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
21 litiques attirés par nos paysages, notre air, nos libertés . Mais le problème actuel se trouve posé par la soudaineté d’un afflux