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niste, le matérialisme, mais aussi les valeurs de
liberté
et de responsabilité, de justice sociale et de solidarité universelle
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horique nostalgie : j’ai retrouvé mon Amérique.
Liberté
Invité par la Fondation Ford pour me promener dans les États-Unis
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le de Bal, D. de R., président du Congrès pour la
liberté
de la culture, et auteur de L’Amour et l’Occident donnera une confé
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oralité : l’homme tourne à l’automate, il perd sa
liberté
, son épaisseur de vie, il ressemble à ces montres extraplates… Justem
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mmun, librement. Au sein des colloques, règne une
liberté
spontanément disciplinée par la critique mutuelle. Deux meneurs de je
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’ai d’ailleurs toujours, dans ma conception de la
liberté
, défendu la théorie de la pluralité des allégeances, de même que le d
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iversité subordonnée à la société, donc privée de
liberté
dans la critique et de gratuité dans l’imagination, cesserait du même
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e des Fleurs de Tarbes où je retrouve l’étonnante
liberté
de jugement, mais les scrupules, la fraîcheur de l’attaque mais la pr
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le couple d’antinomies inséparables : autorité et
liberté
, individualisme et collectivisme, tradition et innovation, droite et
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, cette union ne saurait être acquise au prix des
libertés
qu’elle est censée servir. Rien de plus limpide que la déduction qui
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us prêts à payer pour cela ? Le prix de certaines
libertés
, ou le prix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujo
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union aura pour but la puissance collective ou la
liberté
des personnes. Il nous faut le décider, en toute conscience, et vite,
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ous donnons pour finalité à la Cité européenne la
liberté
, c’est-à-dire les plus grandes possibilités d’épanouissement des pers
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tion industrielle n’étant qu’un des moyens de ces
libertés
), alors il faut reconnaître que l’État-nation n’est pas seulement un
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t incompatible avec les fins de l’Europe et de la
liberté
. Il faut adopter sans délai les méthodes les plus propres à réduire l
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appliquer la méthode du fédéralisme. Puissance ou
liberté
: ces deux finalités commandent deux politiques d’union, dont je crai
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té politique ; le reste — la justice, la paix, la
liberté
— étant manières de parler plus ou moins nobles, ou pure et simple ca
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à Rousseau et de William Penn à Proudhon, que les
libertés
personnelles et les communautés autonomes valent mieux que la puissan
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ion / fédération, ramenée au dilemme puissance ou
liberté
comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers
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tiques. Donner comme but de la Cité européenne la
liberté
non la puissance, un mode de vie qualitatif, non pas un « niveau de v
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litiques attirés par nos paysages, notre air, nos
libertés
. Mais le problème actuel se trouve posé par la soudaineté d’un afflux