1 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
1 pas qualité pour le savoir. Puis, on le rend à la liberté . Toute l’histoire sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu,
2 ui sont de mèche avec la justice, ces prévenus en liberté , cette complicité générale, tout cela, ce n’est pas la « misère de l’
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
3 sion hitlérienne, irait-on se battre au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a
4 re au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a qu’une seule manière de tirer à l
5 verbales assez grossières. L’équivoque sur le mot liberté par exemple : c’était jusqu’à présent le fait des ligues que de procl
6 ’à présent le fait des ligues que de proclamer la liberté en préparant la dictature. Jamais on n’a plus mal menti, jamais avec
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
7 r de ce genre de pression pour s’exercer en toute liberté . » Il écrit un peu plus loin qu’il déplore la disparition « des grand
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
8 Dictature de la liberté , par Robert Aron (mars 1936)y « J’aime les titres mystérieux ou pé
9 contenu de la doctrine qu’il défend. Dictature et liberté , le monde moderne se débat tragiquement entre ces deux nécessités don
10 de notre mission spirituelle. La dictature tue la liberté pour assurer l’ordre et le pain du corps (c’est le principe !). La li
11 dre et le pain du corps (c’est le principe !). La liberté condamne la dictature, mais dès qu’elle la supprime pratiquement, ell
12 t : elle « crève les yeux ». Il faut organiser la liberté . Mais c’est encore là une ellipse ; l’on dira qu’une liberté organisé
13 is c’est encore là une ellipse ; l’on dira qu’une liberté organisée n’en est plus une. Expliquons-nous ; il faut organiser le m
14 ctature36 seule y parvient — mais au profit de la liberté , et à seule fin de la laisser s’épanouir. Il faut soumettre la dictat
15 r s’épanouir. Il faut soumettre la dictature à la liberté , il faut une dictature pour la liberté — une dictature de la liberté.
16 ature à la liberté, il faut une dictature pour la liberté — une dictature de la liberté. Ce serait le plus beau « titre » du si
17 e dictature pour la liberté — une dictature de la liberté . Ce serait le plus beau « titre » du siècle. Ceci admis, et comment n
18 et à brimer nécessairement leurs vocations, leurs libertés réelles, leur personne. Si la personne n’est pas déjà au début d’un c
19 taines questions dernières (le sens dernier de la liberté humaine, par exemple). Mais si l’on considère l’ampleur du dessein de
20 qui ne sait pas où aller ». y. « Dictature de la liberté , par Robert Aron (Grasset) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
21 ’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la liberté et du pain des hommes »ad. À vrai dire, nous n’espérions pas un triom
6 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
22 sans fièvre, et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et joyeuse. Mais je vois bien qu’il me faut expl
23 bitants plantèrent à la Révolution un arbre de la Liberté . Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplaire dans sa symé
24 du hasard, éveille par résonnance un sentiment de liberté , de gratuité aventureuse. Mon sort ne dépend plus de ce que je puis f
25 n pensée notre marche jusqu’au pays voisin. Cette liberté insulaire est une liberté négative. Elle nous met à l’abri du monde e
26 u’au pays voisin. Cette liberté insulaire est une liberté négative. Elle nous met à l’abri du monde et nous ramène tous physiqu
7 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
27 nnocent, ou qui se croit tel, se voie privé de sa liberté pour des « raisons » collectives et obscures. Il me paraît que le liv
8 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
28 raison avertie, donc impure. Elle opère en toute liberté sur un nombre restreint de données qu’elle considère dans l’absolu, e
9 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
29 ce dans le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’homme, capable de refaire avec ses mains le Paradis perd
10 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
30 c’est-à-dire à la grâce de Dieu, mais aussi à la liberté  ; il devient responsable de son temps sur la Terre. Ce serait intolé
31 à l’action personnelle. La personne est agent de liberté . Cette Histoire nous conduit au fatalisme. Comment l’Histoire et la p
32 léchissement réel du sens de la personne et de la liberté . Ce n’est pas qu’on n’aime plus être soi librement, ni vraiment qu’on
33 par une mutation brusque, saura-t-il en tirer une liberté nouvelle ? Je céderais à la tentation que j’ai décrite si j’essayais
11 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
34 ction à plusieurs variables », par là douée d’une liberté que n’aura jamais l’individu, simple objet du déterminisme universel.
35 par le défi perpétuel aux attachements. C’est la liberté négative revendiquée par Don Juan contre les conventions de la morale