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pas qualité pour le savoir. Puis, on le rend à la
liberté
. Toute l’histoire sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu,
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ui sont de mèche avec la justice, ces prévenus en
liberté
, cette complicité générale, tout cela, ce n’est pas la « misère de l’
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sion hitlérienne, irait-on se battre au nom de la
liberté
nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a
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re au nom de la liberté nationale ou au nom de la
liberté
populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a qu’une seule manière de tirer à l
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verbales assez grossières. L’équivoque sur le mot
liberté
par exemple : c’était jusqu’à présent le fait des ligues que de procl
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’à présent le fait des ligues que de proclamer la
liberté
en préparant la dictature. Jamais on n’a plus mal menti, jamais avec
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r de ce genre de pression pour s’exercer en toute
liberté
. » Il écrit un peu plus loin qu’il déplore la disparition « des grand
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Dictature de la
liberté
, par Robert Aron (mars 1936)y « J’aime les titres mystérieux ou pé
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contenu de la doctrine qu’il défend. Dictature et
liberté
, le monde moderne se débat tragiquement entre ces deux nécessités don
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de notre mission spirituelle. La dictature tue la
liberté
pour assurer l’ordre et le pain du corps (c’est le principe !). La li
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dre et le pain du corps (c’est le principe !). La
liberté
condamne la dictature, mais dès qu’elle la supprime pratiquement, ell
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t : elle « crève les yeux ». Il faut organiser la
liberté
. Mais c’est encore là une ellipse ; l’on dira qu’une liberté organisé
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is c’est encore là une ellipse ; l’on dira qu’une
liberté
organisée n’en est plus une. Expliquons-nous ; il faut organiser le m
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ctature36 seule y parvient — mais au profit de la
liberté
, et à seule fin de la laisser s’épanouir. Il faut soumettre la dictat
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r s’épanouir. Il faut soumettre la dictature à la
liberté
, il faut une dictature pour la liberté — une dictature de la liberté.
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ature à la liberté, il faut une dictature pour la
liberté
— une dictature de la liberté. Ce serait le plus beau « titre » du si
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e dictature pour la liberté — une dictature de la
liberté
. Ce serait le plus beau « titre » du siècle. Ceci admis, et comment n
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et à brimer nécessairement leurs vocations, leurs
libertés
réelles, leur personne. Si la personne n’est pas déjà au début d’un c
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taines questions dernières (le sens dernier de la
liberté
humaine, par exemple). Mais si l’on considère l’ampleur du dessein de
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qui ne sait pas où aller ». y. « Dictature de la
liberté
, par Robert Aron (Grasset) », La Nouvelle Revue française, Paris, n°
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’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la
liberté
et du pain des hommes »ad. À vrai dire, nous n’espérions pas un triom
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sans fièvre, et cette arrivée au soleil dans une
liberté
naïve et nue, pauvre et joyeuse. Mais je vois bien qu’il me faut expl
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bitants plantèrent à la Révolution un arbre de la
Liberté
. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplaire dans sa symé
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du hasard, éveille par résonnance un sentiment de
liberté
, de gratuité aventureuse. Mon sort ne dépend plus de ce que je puis f
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n pensée notre marche jusqu’au pays voisin. Cette
liberté
insulaire est une liberté négative. Elle nous met à l’abri du monde e
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u’au pays voisin. Cette liberté insulaire est une
liberté
négative. Elle nous met à l’abri du monde et nous ramène tous physiqu
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nnocent, ou qui se croit tel, se voie privé de sa
liberté
pour des « raisons » collectives et obscures. Il me paraît que le liv
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raison avertie, donc impure. Elle opère en toute
liberté
sur un nombre restreint de données qu’elle considère dans l’absolu, e
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ce dans le pouvoir magique du langage, et dans la
liberté
infinie de l’homme, capable de refaire avec ses mains le Paradis perd
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c’est-à-dire à la grâce de Dieu, mais aussi à la
liberté
; il devient responsable de son temps sur la Terre. Ce serait intolé
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à l’action personnelle. La personne est agent de
liberté
. Cette Histoire nous conduit au fatalisme. Comment l’Histoire et la p
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léchissement réel du sens de la personne et de la
liberté
. Ce n’est pas qu’on n’aime plus être soi librement, ni vraiment qu’on
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par une mutation brusque, saura-t-il en tirer une
liberté
nouvelle ? Je céderais à la tentation que j’ai décrite si j’essayais
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ction à plusieurs variables », par là douée d’une
liberté
que n’aura jamais l’individu, simple objet du déterminisme universel.
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par le défi perpétuel aux attachements. C’est la
liberté
négative revendiquée par Don Juan contre les conventions de la morale