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ue réclament les surréalistes. Le contraire de la
liberté
. D’autre part, on veut donner à l’acte gratuit une valeur morale en d
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rire des sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une
liberté
plus précieuse que toute certitude… Ô vérité, ma vérité, non pas ce q
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ette prétention à la libération par le Rêve. « La
liberté
commence où naît le merveilleux. » Au vrai, et surtout pour un homme
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– c’est presque un non-sens de chercher l’absolue
liberté
dans le rêve. Le rêve, c’est la tyrannie des souvenirs ; et ce n’est
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eule chose qui reste à nos yeux sacro-sainte : la
liberté
. Alors n’est-ce pas, merci du conseil, Monsieur Y. Z., de ce conseil
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mportent. Vous le savez. Alors vous les lâchez en
liberté
, par haine de cette esthétique ou de ce sens social, — et voilà qu’il
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pitudes que cela comporte, Belles-Lettres est une
liberté
. Une rude épreuve : on n’en sort que pour mourir ou pour entrer en re
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aube et le sourire adorable de savoir la dansante
liberté
d’un désir à sa naissance L’étoile qui l’accueille au sommet ravi d
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t, comprend enfin qu’il est perdu, il découvre la
liberté
. (Je pense à la boussole autant qu’au sens moral.) Le goût de se perd