1 vers de ses manifestations. Gérard parle avec une liberté magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le temps et l’espace. Ce

2 et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font de

3 elles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté  ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on so

4 re un symbole de la servitude et un symbole de la liberté . Si la Hongrie tout de même a quelque chose de « moderne », dans un s

5  ! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre liberté de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos ges

6 de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté … Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph

7 enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle liberté du monde. Un peu plus tard, il y eut un instant merveilleux que je ve

8 blouissante, des troupeaux de chevaux pâturent en liberté . Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entou

9 ’est pas commode de se trouver devant une bête en liberté qu’on doit saisir d’abord, puis seller et dompter. Ou bien ce sont de

10 ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en liberté , et les monter à poil. Jouer à football avec les hérissons du parc. C

11 t, comprend enfin qu’il est perdu, il découvre la liberté . Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre cond