1
ance de mes opinions : c’est ce qui assure ici ma
liberté
. Mon premier livre dit assez mon amour de l’Europe centrale ; et mon
2
c le syndicat, trésorerie en délire. C’était la «
liberté
». Maintenant, plus rien n’est libre, mais tout marche, assure-t-il,
3
vis, naturellement. Ils se sentent libres. Car la
liberté
, pour un adolescent, c’est tout ce qui ne dépend pas de la famille, f
4
Contraindre, ce serait peu. Mais s’emparer de la
liberté
même des jeunes, voilà le totalitarisme. La presse. — Il faut port
5
si qu’il est prêt à se faire tuer pour assurer la
liberté
de sa presse : le droit pour un journal de se vendre à qui il veut, e
6
que… N’allons pas faire, nous, une religion de la
Liberté
! Ce serait le signe que nous en perdons le goût et l’usage naturel,
7
avec Staline ? Il a fait pire que nous contre la
liberté
. » Chaque fois que l’on m’envoie un livre de France, je dois aller
8
la loi, je n’invente pas. Et vous, rêveurs d’une
liberté
sociale assurée par l’État prolétarien, celui que vous haïssez réalis
9
oie. Au milieu, cette devise : Honneur, paix et
liberté
dans le monde. Communauté, égalité et pain pour le Peuple. N’oublio
10
chacun de ces termes par la réalité qu’il cache.
Liberté
veut dire réarmement. Paix veut dire Anschluss sans opposition de la
11
es en pensant à n’importe quoi, dans une parfaite
liberté
d’esprit ? Les contraintes totalitaires nous hypnotisent. Elles nous
12
res nous hypnotisent. Elles nous privent de toute
liberté
à la manière d’une obsession. À chaque phrase, je risque l’accident…
13
ont plus que nos réflexes ? Retrouverons-nous une
liberté
nouvelle ? 11 juin 1936 L’Église confessionnelle (Bekenntniskir
14
dû dire non à l’État. Parce que l’État brimait la
Liberté
ou les « valeurs spirituelles » des libéraux ? Non, c’était plus séri
15
usines qui rendent à plein, l’armée motorisée, la
liberté
reconquise… Ce drame est visiblement inspiré par la liturgie protesta