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, ce sera la fin de notre union, et la fin de nos
libertés
! (Violent.) Princes de l’Église, je vous en conjure, n’abandonnez ja
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n. Diesbach. — Le roi Louis veut protéger nos
libertés
, convoitées par le Téméraire. Nicolas (brusquement). — Et moi, je
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je vois que l’un et l’autre chérissent moins nos
libertés
qu’ils ne craignent le duc d’Occident ! Riche contrée, dit-on, que la