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blouissante, des troupeaux de chevaux pâturent en
liberté
. Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entou
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ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
liberté
, et les monter à cru. Jouer à football avec les hérissons du parc. Ca
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et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô
liberté
aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font de
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elles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la
liberté
! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on so
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re un symbole de la servitude et un symbole de la
liberté
. Si la Hongrie tout de même a quelque chose de « moderne », dans un s
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! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre
liberté
de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos ges
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de jeune fille qui rimait sagement des odes à la
liberté
… Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph
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enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle
liberté
du monde. Un peu plus tard, il y eut un instant merveilleux que je ve
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. Cette triple allégeance m’assurait à la fois la
liberté
et plusieurs possibilités complémentaires de participer, de m’engager
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et demandais davantage19. J’ai dit depuis que la
liberté
, c’est le droit d’appartenir à plus d’un club. ⁂ Jean Paulhan de ret
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rai dire. Je saisis l’occasion de plonger dans ma
liberté
, dans ses risques. 15. Les bombes américaines de 1943-1945 ont tota
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conomique, seul régime capable de sauvegarder les
libertés
et de prévenir les guerres totales. x. — Dans l’ordre politique, le
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n sans fièvre et cette arrivée au soleil dans une
liberté
naïve et nue, pauvre et joyeuse… Mais je sens bien qu’il me faut expl
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formels, sans nul rapport avec ce beau vertige de
liberté
. Depuis six jours que nous sommes arrivés, je n’ai lu que les Règles
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lerai de notre affaire, avec nos mots, dans notre
liberté
. Après quoi, je pourrai travailler. Aujourd’hui c’est le jour du repo
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bitants plantèrent à la Révolution un arbre de la
Liberté
. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux, exemplaire dans sa symé
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quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô
liberté
des villes ! Mais ne point oublier qu’à Paris, c’est chez soi, dans l
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du hasard, éveille par résonance un sentiment de
liberté
, de gratuité aventureuse. Mon sort ne dépend plus de ce que je puis f
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n pensée notre marche jusqu’au pays voisin. Cette
liberté
insulaire est une liberté négative. Elle nous met à l’abri du monde e
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u’au pays voisin. Cette liberté insulaire est une
liberté
négative. Elle nous met à l’abri du monde et nous ramène tout physiqu
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te première expérience de deux mois, c’est que la
liberté
ne s’improvise pas. Qu’il faut la conquérir avec méthode, et organise
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s ici, que feraient-ils de tout cela ? Ils ont la
liberté
, et cela leur suffit, depuis cent-cinquante ans. Ils ne songent pas à
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mes de dictature ; si les paysans avaient plus de
liberté
qu’auparavant, etc. Mais ce qui me surprit davantage, ce fut la quest
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érent ; qu’on voulait surtout, par ici, garder sa
liberté
et se gouverner comme on l’entendait. Et je me disais, en l’écoutant
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mi la confusion d’un grand peuple, avec autant de
liberté
et de repos que vous sauriez faire dans vos allées ; et je n’y consid
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a servitude de la corruption pour avoir part à la
liberté
de la gloire des enfants de Dieu. Or nous savons que jusqu’à ce jour,
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ner quelques personnes sur les moyens de vivre en
liberté
, à peu de frais. Je dis quelques personnes : sont-elles si rares à dé
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des métamorphoses non moins effarantes. Travail,
liberté
ou union, richesse et pauvreté, tous ces vocables dont nous pensions
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mocratie parlementaire, et toute une tradition de
libertés
. Bref, un petit sermon élémentaire sur le thème « liberté oblige ». A
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Bref, un petit sermon élémentaire sur le thème «
liberté
oblige ». Au sortir de la réunion, je surprends cette phrase d’un hom
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ux maréchaux rouges, de la suppression totale des
libertés
culturelles et politiques, etc. Ils me répondent que tout cela n’est
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premier Führer venu : il dit que c’est au nom des
libertés
prolétariennes. Cela change tout. Quand je leur pose une question gên
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ance de mes opinions : c’est ce qui assure ici ma
liberté
. Mon premier livre dit assez mon amour de l’Europe centrale ; et mon
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c le syndicat, trésorerie en délire. C’était la «
liberté
». Maintenant, plus rien n’est libre, mais tout marche, assure-t-il,
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vis, naturellement. Ils se sentent libres. Car la
liberté
, pour un adolescent, c’est tout ce qui ne dépend pas de la famille, f
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Contraindre, ce serait peu. Mais s’emparer de la
liberté
même des jeunes, voilà le totalitarisme. La presse. — Il faut port
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si qu’il est prêt à se faire tuer pour assurer la
liberté
de sa presse : le droit pour un journal de se vendre à qui il veut, e
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que… N’allons pas faire, nous, une religion de la
Liberté
! Ce serait le signe que nous en perdons le goût et l’usage naturel,
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avec Staline ? Il a fait pire que nous contre la
liberté
. » Chaque fois que l’on m’envoie un livre de France, je dois aller
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la loi, je n’invente pas. Et vous, rêveurs d’une
liberté
sociale assurée par l’État prolétarien, celui que vous haïssez réalis
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joie. Au milieu, cette devise : Honneur, paix et
liberté
dans le monde. Communauté, égalité et pain pour le Peuple. N’oublion
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chacun de ces termes par la réalité qu’il cache.
Liberté
veut dire réarmement. Paix veut dire Anschluss sans opposition de la
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es en pensant à n’importe quoi, dans une parfaite
liberté
d’esprit ? Les contraintes totalitaires nous hypnotisent. Elles nous
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res nous hypnotisent. Elles nous privent de toute
liberté
à la manière d’une obsession. À chaque phrase, je risque l’accident…
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ont plus que nos réflexes ? Retrouverons-nous une
liberté
nouvelle ? 1er juin 1936 Instruction spirituelle donnée aux ét
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dû dire non à l’État. Parce que l’État brimait la
Liberté
ou les « valeurs spirituelles » des libéraux ? Non, c’était plus séri
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usines qui rendent à plein, l’armée motorisée, la
liberté
reconquise… Ce drame est visiblement inspiré par la liturgie protesta
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meilleures forces morales : sa « mystique » de la
liberté
. Il n’y a de solution pratique que dans un vaste effort moral des gra
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sont comme tous ceux qui ont tenté de défendre la
liberté
, emprisonnés, torturés — ou supprimés ». Mais le second article, sur
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emands avaient souffert pendant l’Empire. Cette «
liberté
» qu’apportaient les Français à la pointe de leurs baïonnettes ne cor
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ositions. J’examinerai à cet égard trois termes :
liberté
et justice, qui viennent de notre fonds, et le néologisme espace vita
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gisme espace vital. On ignore trop souvent que la
liberté
signifiait pour les vieux Germains le droit de porter une arme et de
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mement du Reich, se soit intitulé : Journée de la
Liberté
. Précisons : l’armement pour les Allemands n’est pas comme pour nous
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r nous autres démocrates un moyen de protéger des
libertés
d’ordre civil. Il est en soi la liberté, et nulle autre n’est conceva
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éger des libertés d’ordre civil. Il est en soi la
liberté
, et nulle autre n’est concevable… La justice est pour nous le respect
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r politique à voix très haute, pour manifester sa
liberté
d’esprit. Un soir, il déclare à la cantonade que si l’Allemagne d’Hit
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t en réalité gratuit. Que tout se paye. Que notre
liberté
de penser n’importe quoi, sans tenir compte de l’époque, était une il
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re, c’est se libérer et assumer les risques de sa
liberté
. Il peut sembler paradoxal de soutenir que l’engagement d’une pensée
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que l’engagement ne peut être qu’un esclavage. La
liberté
réelle n’a pas de pires ennemis que les libéraux ; sinon en intention
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nt le pas dès qu’une menace se précise contre les
libertés
françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril, c’est de faire un
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u bon vieux temps européen. Jours de sursis d’une
liberté
dont nous avions à peine conscience, parce qu’elle était notre manièr
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t le crime des dictatures : elles ne tuent pas la
liberté
dans les pays seulement où elles sévissent, mais aussi bien chez les
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voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La
liberté
ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est vraiment comme un rêve
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ements d’existences étrangères. Paris propose une
liberté
et un danger, une révélation totale de l’humain dans tous ses risques
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er ici ? Plus rien ne dépend de nous. C’est notre
liberté
. Les hommes sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du
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ion de quelque territoire, mais la défense de nos
libertés
— dont je vais faire le titre du bréviaire. Il faut que chacun se bat
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cette raison même, l’origine très précise de nos
libertés
suisses et de notre union fédérale. Quand je n’en saurais rien, j’ai
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prit de résistance. Ce réalisme libertaire, cette
liberté
d’allure et de jugement qui tient compte des puissances de l’instinct
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aires ni belles en soi, mais les compose avec une
liberté
puissamment significative. Le sens des fins dernières et une facture,
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rme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles
libertés
; et maintenant sceau des poèmes qu’il dédie « à la louange de Dieu »
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nable. Ainsi, lorsque les hitlériens réclament la
liberté
, cela signifie qu’ils rétablissent une armée pour tyranniser toute l’
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garder libre que nos premiers cantons ont reçu la
liberté
d’Empire. Or il se trouve que, providentiellement, le Gothard est le
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cérémonie. Céder à l’ennemi sur le point de la
liberté
d’expression, n’est-ce point perdre, avant même que de se battre, l’u
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Blanche et bleue dans l’immense lumière de la
liberté
atlantique, avec tous ses drapeaux claquant et ses rues débouchant su
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ur mystérieux du continent, dernier symbole d’une
liberté
qui ne peut plus vivre que sous la cuirasse. Hâtons-nous, car tout pe
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ière — à deux-cents mètres — du Portugal et de la
liberté
. Car tel est le sadisme policier. De Genève à Lisbonne, nous avons tr
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voisin me tirait par la manche pour me montrer la
Liberté
éclairant le monde, les haut-parleurs impérieux et lugubres ont récla
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ublicité à la radio, vous aimez cela, c’est votre
liberté
, votre beau temps, et vos enfants sont gros et forts, nourris scienti
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s banquiers, et le triomphe des savants sur votre
liberté
sentimentale. Vous ne l’aurez pas volé, grosses dames des clubs de da
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ne faut. Et je touche ici la limite des fameuses
libertés
américaines ; non sans angoisse. Point de bohème en Amérique. C’est l
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uses collectives en déroute, démocratie, justice,
liberté
, leurs majuscules et leurs réalités. Voilà qui donne à l’aventure ind
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tale du matin. 28 novembre 1941 Rêve de la
liberté
. — Au Cosmopolitan Club une dame me dit : — Si cet Hitler gagnait la
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! Il manque seulement cette chose très vague, la
liberté
, et cette fois-ci, vous ne pouvez pas vous réveiller. 7 décembre 1
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e champ d’une course nouvelle, rend une espèce de
liberté
qu’ils ne pouvaient pas même imaginer la veille… Qui sait si la guerr
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es conventions par l’intelligentsia, au nom de la
liberté
et du progrès — qu’elle ruine.) 3. Il faut donc retrouver le sens de
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gles. Ici, donc, conventions et réalité, règle et
liberté
sont strictement corrélatives. Les surprises, inspirations et inventi
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qu’elle sert : c’est là le principe positif de la
liberté
. Il peut faire appel, sans tricherie. L’ordre véritable est alors éta
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ciété, ni arts ne sont viables) et un principe de
liberté
, donc de recours, sans lequel les orthodoxies se ferment et bientôt s
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s ou superposées, unies par la volonté même de la
liberté
qui assure leur diversité. Chacune peut garder son orthodoxie, à cond
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odoxie, à condition que celle-ci reste ouverte. —
Liberté
fédéraliste : définie par la possibilité d’appartenir à plusieurs com
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sevelt a fait de l’Amérique l’espoir puissant des
libertés
du monde. L’un qui ne voulait que la guerre est en train de la perdre
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in de la gagner. Même pour conduire la guerre, la
liberté
démontre qu’elle vaut mieux que la dictature. Les torches que brandis
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randie par le bras gigantesque de la statue de la
Liberté
éclaire, appelle à l’espérance. À Stalingrad, les Russes triomphent,
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aussi. Et parfois la crainte vague de perdre une
liberté
dont nous ne savons plus formuler les conditions… Avril 1943 R
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ne peut plus s’exprimer librement au sujet de la
liberté
, il la perd en feignant de la défendre encore. Prenons du champ. Et d
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-vis de la richesse des autres, conserver la même
liberté
que dans sa propre pauvreté, c’est tout le secret. J’ai souvent soupç
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es, puisqu’elle se fonde sur la réalité et sur la
liberté
des vocations. Je dois mon œuvre à la communauté, c’est un service qu
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Montcalm et morts des guerres d’Indépendance. La
liberté
et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ailleurs. Mais
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ailleurs. Mais ici plus qu’ailleurs, on sent que
liberté
signifie quelque chose d’élémentaire : la possibilité de se mettre à
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uifs… Il fournissait ainsi la mesure de sa grande
liberté
d’esprit. Puis s’étant excepté de la commune sottise, ayant sauvé l’h
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es, puisque nous le pouvons en vertu de l’extrême
liberté
que nous nous accordons par convention. Voulons-nous susciter les fée
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ait pour vous, mais près de lui vous éprouvez une
liberté
. Et cette constatation, bien entendu, ne signifie rien sur sa valeur