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rs des institutions européennes qui favorisent la
liberté
plutôt que la puissance, et les personnes plutôt que les États, tel e
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taine conception de la personne humaine et de ses
libertés
fondamentales, antérieures et supérieures à l’État ; un certain refus
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in sens du dialogue permanent, condition de notre
liberté
; une manière de « chercher à comprendre » qui est notre forme intime
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écieuse diversité. C’est le double problème de la
liberté
de l’esprit et de sa responsabilité qui se pose à la Conférence. Deux
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de nos cultures » indique le moyen de protéger la
liberté
de l’esprit, menacée du dedans et du dehors. Mais sous peine de se p
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’organisation reste la meilleure sauvegarde de la
liberté
de l’esprit, tant que l’on n’aura pas abouti à la solution idéale, qu
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à la solution idéale, qui serait d’organiser les
libertés
, c’est-à-dire de les garantir statutairement contre les mécanismes ét
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idental », on doit constater d’autre part que les
libertés
dont nous bénéficions (indépendance relative de la culture par rappor
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ar le dogme de l’État souverain. Nos garanties de
liberté
sont donc dans une large mesure, négatives. Elles courent le risque p
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e), ceux qui s’y livrent sont aussitôt privés des
libertés
élémentaires : liberté de recherche, liberté d’échange, liberté de pu
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sont aussitôt privés des libertés élémentaires :
liberté
de recherche, liberté d’échange, liberté de publication, dans certain
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des libertés élémentaires : liberté de recherche,
liberté
d’échange, liberté de publication, dans certains cas, liberté de circ
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taires : liberté de recherche, liberté d’échange,
liberté
de publication, dans certains cas, liberté de circuler. D’une manière
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hange, liberté de publication, dans certains cas,
liberté
de circuler. D’une manière générale, la condition de la culture, dans
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aradoxe suivant : Ceux qui laissent la culture en
liberté
à l’Ouest, en font peu de cas pratiquement ; et ceux qui à l’Est lui
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ulement réduits, ou reçus en échange de certaines
libertés
essentielles : tout cela provient du nationalisme culturel, et tout c
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ne plus l’empêcher d’évoluer selon ses lois et sa
liberté
propres. L’Europe ouverte, et rien de plus, mais rien de moins, voilà
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e moyen d’une renaissance de leur culture dans la
liberté
de l’esprit, qui est leur vraie force. Notre objet ne sera pas non pl
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l’image d’une Europe rénovée par l’union dans la
liberté
, d’une Europe qui prend au sérieux sa vocation particulière dans le m
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ns les minorités qu’on fait l’apprentissage de la
liberté
. Bien plus, l’Europe est si diverse que chaque majorité locale ou nat
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ommes, les idées et les biens peuvent circuler en
liberté
. Toutes les entraves à cette circulation qu’elle laisserait subsister
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d’étudiants ou de professeurs. Nous réclamons la
liberté
, la libération totale et sans condition de ces échanges internationau
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plus haut achèvement. Ce n’est plus seulement la
liberté
de la personne — l’habeas corpus — qui est contestée au xxe siècle,
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et opprimés retournent contre elle les idéaux de
liberté
et d’égalité qui avaient assuré son prestige. Les progrès de l’hygièn
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l n’y a plus en commun que des mots vagues, comme
liberté
, besoin, justice, auxquels chacun donne un sens différent. Nulle auto
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’il en est réduit à désirer qu’on le libère d’une
liberté
sans contenu. Il cherche un guide. Duce, Führer, Caudillo, Père des p
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’arbitraire et la « sécurité » des dictatures, la
liberté
demeure encore une possibilité réelle et un mot exaltant. Saura-t-ell
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rner leurs discours de phrases sur les glorieuses
libertés
de l’Europe et la défense des valeurs spirituelles. Mais leur métier
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2 juin. L’initiative était due au Congrès pour la
liberté
de la culture et à son secrétaire général Nicolas Nabokov. C’est en t
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autant qu’elles le comblent. Une telle passion de
liberté
— d’ailleurs contemporaine des dictatures totales — ne va pas sans dé
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ordre, apparent ou réel. Mais nous pensons que la
liberté
d’expression et de création reste la condition première — non point l
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dres. C’est dans cette vue que le Congrès pour la
Liberté
de la Culture a voulu rassembler au foyer même de l’aventure moderne,
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ent, et ceux qui vont plus loin mais dans la même
liberté
. Jamais convocation plus ample de ses forces n’aura marqué l’été d’un
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isme de ce siècle : jamais on n’avait vu pareille
liberté
de recherche et de formulation, jamais moins de scrupules d’expressio
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Conclusions sur l’avenir et la
liberté
de la culture « L’Œuvre du xx e siècle » se termina le 30 mai 1952
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é, qui a protesté, pour la valeur créatrice de la
liberté
. Maintenant, qu’allons-nous conclure ? Je pense qu’il ne se trouvera
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état d’inconscience ou de folie le privant de sa
liberté
de jugement ou de décision. C’est là l’un des principes fondamentaux
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ience et de la communauté. En d’autres termes, la
liberté
se réalise et s’actualise dans la responsabilité, que ce soit pour le
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Cette liaison fondamentale et indissoluble de la
liberté
et de la responsabilité est le trait caractéristique du civisme europ
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e responsable, dans le second, il est privé de sa
liberté
. Ni dans le premier, ni dans le second, il ne saurait être considéré
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etrouvons ici nos deux catégories fondamentales :
liberté
et responsabilité. Qu’il s’agisse du citoyen actif ou de l’artiste cr
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e caractéristique dans l’équilibre tendu entre la
liberté
et l’engagement, entre les droits de l’individu et les exigences de l
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ne science exacte, c’en serait fait des dernières
libertés
qui nous restent — celle de ne pas croire ou de croire ce qui nous pl
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de douter, ou de soupçonner un piège. En bref, la
liberté
de critique. Or c’est précisément notre plus sûr recours. Réformer la
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ommun, librement. Au sein des colloques règne une
liberté
spontanément disciplinée par la critique mutuelle. Deux meneurs de je
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de révolutions, bien sûr, mais créatrice aussi de
liberté
— donc créatrice tout court, en fin de compte. Incertitude et insatis
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servitude de la corruption… pour avoir part à la
liberté
de l’Esprit. » Il y a là un programme grandiose d’action sur le cosmo
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ienne d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la
liberté
dans sa condition concrète et non dans l’évasion mystique, se combine
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trainte, tandis que le préfixe « auto » évoque la
liberté
de l’individu, cette invention n’était certainement pas la mieux adap
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paix, soit de la tyrannie des choses, soit de la
liberté
de notre action. Mais surtout, par ses progrès mêmes, par les moyens
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Les besoins devraient être formulés dans toute la
liberté
de l’imagination la mieux nourrie de connaissances précises des domai
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rir tout de suite au-delà sans avoir mérité cette
liberté
… De là sans doute le ton crispé, voire coléreux, de beaucoup de jeune
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s idéaux nouveaux ; les notions de l’homme, de la
liberté
ou de l’amour, spécifiques de chacun de ces ensembles ; l’éducation d
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ente, c’est-à-dire transnationale, et du degré de
liberté
qu’ils laissent aux industriels anarchistes, ceux qui exploitent et d