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Il n’y a plus en commun que des mots vagues comme
liberté
, besoin, justice, auxquels chacun donne un sens différent. Nulle auto
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us devons dans nos écrits militer en faveur de la
liberté
de la personne et de la révolution socialiste. On a souvent prétendu
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re c’est se libérer et accepter les risques de sa
liberté
. Une pensée qui par sa nature est « libérale » au sens d’irresponsabl
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que, secrètement, elles aspirent à la fin de leur
liberté
et de leur responsabilité. Je voudrais suggérer ici que seule une con
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d’abord, d’une cité dont la fin dernière soit la
liberté
de chacun, et non pas la puissance du tout : État, Nation, Parti, myt
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sont l’Homme, la cité et la Nature ; ou encore la
liberté
des personnes et des groupes, non la puissance horrible des États-nat