1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
1 en que j’y puisse disposer le roi mon maître, une ligue offensive et défensive entre lui, vous et les provinces unies des Pay
2 délivré par une souveraineté quelconque et que la Ligue rendrait valable. Ceux qui ont voyagé en Allemagne où il y a un si gr
3 éciproques, ou dans des Traitez de Garantie ou de Ligue offensive & défensive pour établir, pour maintenir ou pour rétabl
4 Souverains Mahometans ses voisins, des Traitez de Ligue offensive & défensive, pour maintenir chacun en Paix dans les bor
5  : Il ne s’agit présentement que de commencer la ligue dans un congrès, à La Haye ou ailleurs. Deux-cents ans plus tard, en
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
6 on deux aristocraties ; unies entre elles par une ligue perpétuelle, elles se trouvent ainsi liées les unes aux autres en tem
7 sque des puissances souveraines s’unissent en des ligues perpétuelles ou temporaires, elles forment naturellement des états ar
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
8 r la sagesse, de celle du corps germanique, de la ligue helvétique, et des états généraux. Outre ces confédérations publiques
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
9 Confédération américaine, la Diète germanique, la Ligue helvétique. Pourquoi la fraternité européenne ne pourrait-elle pas ex
10 s exister aussi bien que la Diète allemande ou la Ligue helvétique ? Ces dernières n’ont pas d’ambitions. Qu’il en soit donc
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
11 rent nouer au nom de la stabilité qu’une précaire Ligue des rois. Toutefois, l’idée européenne avait pris assez de force et r
12 ours alliées le sentiment de toute la force de la ligue européenne… La paix sera celle de l’Europe, toute autre est inadmissi
13 et l’entretenir constitutionnellement ; car deux ligues d’égale force sont nécessairement rivales, et il n’y a pas de rivalit
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
14 os luttes, la seule force qui puisse terrasser la ligue des pouvoirs issus du privilège ou de l’égoïsme des intérêts. Et quan
15 ans cette génération splendide, les communes, les Ligues , les fédérations, et jusqu’à cette Féodalité, qui, par sa constitutio
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
16 tuel de l’Europe, William Penn l’accepter dans sa Ligue des Nations, et leurs successeurs en utopie tabler sur la puissance r